Les mesures annoncées le 3 septembre sont plus inspirées par des considérations politiques que par une logique économique rigoureuse.
On l’attendait depuis des mois, il est arrivé le 3 septembre, et il déçoit. On le sait depuis longtemps, la politique et l’économie ne font pas bon ménage, et le plan est clairement plus inspiré par des considérations politiques que par une logique économique rigoureuse. En flattant en même temps les écologistes, les entreprises (les grandes surtout) et les territoires, il répond à une logique électorale imparable mais prend le risque de ne pas atteindre l’objectif économique annoncé. Et si la reprise n’est pas au rendez-vous, les élections seront très délicates.
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