Auteur : tvlibertes.com

Depuis une dizaine d’années, les banksters jonglent pour éviter le pire par tous les moyens, et pour l’instant, ils ont réussi à survivre tant bien que mal. Mais, selon Jean-Pierre Chevallier, le jour fatal arrivera car les banques sont en grande difficulté, voire au bord de la faillite comme la Deutsche Bank ou la Société Générale, alors même qu’elles bénéficient de la manne de la BCE.

Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Guy de La Fortelle, économiste, éditeur pour son blog « L’investisseur sans costume » et sa lettre Risque et profit.
A travers les analyses sur la monnaie depuis les étranges monnaies océaniques de l’île de Yap jusqu’au bitcoin, en passant par l’or, quelle est la nature de la monnaie, quels sont ses fondements, son coût de fabrication et que penser de la monnaie planche à billet ?

Comme annoncé dans le « Politique & Eco » de janvier dernier, on assiste à des rachats massifs de banques, à cause des taux d’intérêt négatifs, de la planche à billet toujours et encore, conséquences funestes pour les clients et les épargnants. Mais qu’on se rassure les fonds vautours et l’oligarchie bancaire se payent grassement !

Se résigner ou résister à l’effondrement financier ? Pour notre invité, l’ingénieur Benoit Lavenier : « L’euro va s’effondrer, c’est mathématique, il faut l’anticiper ». Pour y faire face, il présente une monnaie libre, différente du système bitcoin, totalement sécurisée et respectueuse de chacun : la June (Ğ1), adossée non pas sur l’or mais sur l’homme, seul invariant d’une économie.

Selon Etienne Chaumeton, les libertés fondamentales sont en grand danger. Pour lui, ou bien l’on met la personne humaine au centre de la société, l’Etat n’étant là que pour la défense du bien commun, ou bien l’Etat est au centre de la société et les individus ne sont qu’un maillon dans ses rouages. La preuve par l’euro qui n’est basé sur aucune valeur physique et ne peut vraiment fonctionner dans une Europe dont les pays n’ont pas le même système fiscal. Bruxelles souhaitant pratiquer des transferts de richesses en créant un nouvel impôt européen, nouvelles atteintes aux libertés. Mais l’euro demeure en soins palliatifs malgré les perfusions de la planche à billet. Il perd de sa valeur constamment en raison de l’inflation, ce qui n’est pas autre chose qu’un vol légal.

Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Jean-Pierre Chevallier : business économiste, monétariste et analyste financier.
« Nos amies » les banques européennes et françaises toujours trop endettées.
Le tsunami n’a pas eu lieu mais le rapport fonds propres sur dettes reste très inquiétant (Société Générale par exemple). L’utilisation abusive de l’effet de levier (leverage) a conduit la BCE à injecter 1 900 milliards d’euros dans le système.