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Lorsqu’il y a un an, je présentais mes prévisions pour l’année à venir en annonçant : « 2020, l’année de tous les dangers… », nous étions toutes et tous très loin d’imaginer que la réalité serait pire qu’un cauchemar.
A l’époque, le « Coronavirus de Wuhan » commençait tout juste à faire parler de lui et j’annonçais qu’il pourrait enlever quelques dixièmes de point à la croissance mondiale, attirant parfois des critiques sarcastiques…
Et pourtant ! Non seulement cette « grosse grippe », comme l’appelaient alors certains médecins et spécialistes, est devenue une pandémie mondiale, tuant officiellement près de 1,8 million de personnes à travers la planète (au 28 décembre 2020), mais, en plus, elle a entraîné une dépression économique internationale sans précédent depuis la seconde guerre mondiale.
Le drame est que le plongeon du PIB n’est pas un simple chiffre, il se traduit immanquablement par des faillites d’entreprises, des destructions d’emplois massives et une flambée du chômage. En France, la baisse du PIB a été d’environ 10 % en moyenne sur 2020, faisant flamber le taux de chômage à 10 %, tandis que les déficits publics et la dette publique ont vraisemblablement atteint les niveaux affolants de respectivement 12 % et 125 %.
Encore plus grave : certains ont tiré profit de cette crise pour devenir encore plus forts qu’auparavant. A commencer par la Chine, mais aussi les GAFAM. Sans oublier les marchés boursiers qui ont repris le chemin d’une bulle de plus en plus extravagante, notamment grâce aux « planches à billets » des banques centrales.
Retour donc sur 2020, l’an foiré, en graphiques et tableaux pédagogiques et sans langue de bois…
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