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Six mois après la crise épidémique, les hausses des prix ont ralenti dans de nombreuses villes. Le marché s’apprêterait même à se retourner dans certaines métropoles telles que Nice ou Montpellier, selon une étude de Meilleurs Agents.
Trois mois après la fin du confinement, une première étude pointe l’impact que pourrait avoir la crise sur le marché de l’immobilier. D’après une enquête réalisée par Meilleurs Agents, plusieurs marchés locaux – et non des moindres – risquent en effet d’être durablement touchés par le ralentissement économique et la montée progressive du chômage au cours des mois à venir…
Pour établir ce travail d’anticipation, le site a retenu quatre grands critères. Le pouvoir d’achat immobilier local, basé sur les revenus, les prix et les coûts divers liés à la transaction immobilière. Puis, la facilité (ou non) des acheteurs à accéder au crédit bancaire. Ensuite, à partir de données du Ministère du Travail et de Pôle Emploi, le groupe a étudié les perspectives en terme d’emploi dans ces villes. Meilleurs Agents a ainsi pu déterminer celles dont les habitants seraient (potentiellement) les plus touchés par des pertes de revenus. Enfin, le site a mesuré la tension immobilière dans ces villes, c’est-à-dire la différence entre le nombre d’offres de logements et le nombre d’acheteurs potentiels.
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