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L’année dernière a été un moment charnière de l’histoire des États-Unis. La pandémie et les élections ont idéologiquement divisé le pays. Il semble n’y avoir que 3 solutions possibles :
- L’Amérique sera confrontée à un gouvernement fédéral de plus en plus autoritaire face à une population largement apathique ;
- Le pays se divisera ;
- Un nouveau leadership émergera, capable en quelque sorte de combler le fossé idéologique entre la gauche et la droite américaines.
Les partisans de l’or ne parient pas sur une réconciliation de sitôt. La demande de métal physique a atteint un nouveau record historique en janvier.
Alors que les investisseurs mesurent les conséquences sur les marchés de la présidence Biden, ils vont constater que certaines tendances vont rester inchangées.
La Réserve fédérale va continuer de gonfler le prix des actifs financiers, comme elle le fait depuis mars, soit depuis que les banquiers centraux sont devenus fous. Ils ont injecté des milliards de milliards sur les marchés de la dette via les banques de Wall Street et ont baissé les taux d’intérêt à zéro.
Depuis lors, les marchés financiers ont profité de ce tsunami de stimulations. Cependant, ce n’est qu’une question de temps avant que les effets se dissipent.
Les banquiers centraux affirment qu’ils essaient de doper l’économie réelle. Ces affirmations sont vides de sens. Les stimulations n’ont produit aucune relance économique durable.
Ce que nous avons, c’est beaucoup d’inflation, fortement concentrée sur les marchés financiers et l’immobilier. La Réserve fédérale doit toujours en faire plus pour maintenir suffisamment d’air dans ces bulles. Joe Biden n’imposera certainement pas de discipline ou de retenue à la FED.
Les Américains peuvent également s’attendre à plus de la même chose de la part du Congrès. Biden a déjà demandé près de 2 billions de dollars pour son plan de relance. Tout ce qu’il obtiendra ne sera qu’un acompte car le Congrès travaille encore et toujours pour augmenter les dépenses et la place du gouvernement.
Les démocrates qui contrôlent désormais à la fois la Chambre et le Sénat seront sourds aux appels à la retenue budgétaire. La dette fédérale, impossible à rembourser, pourrait facilement dépasser les 40 billions de dollars avant la prochaine élection présidentielle de 2024.
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