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Dans quels quartiers de Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes et Paris les acheteurs peuvent-ils négocier les plus fortes ristournes avec les vendeurs ? Des cartes inédites réalisées par le groupe Yanport présentent les rabais moyens constatés dans les quartiers de chacune de ces villes en 2020.
Oui, même au sein des plus grandes métropoles, les acheteurs arrivent (parfois) à négocier de grosses ristournes sur le prix des logements. Voilà ce que confirme une étude inédite réalisée par le groupe Yanport sur les villes de Nantes, Bordeaux, Paris, Lyon et Marseille. Dans chacune de ces communes, le spécialiste en données immobilières a pu comparer sur l’ensemble de l’année 2020 les différences moyennes entre les prix des logements affichés sur les portails d’annonces immobilières, et les montants réellement signés au final chez les notaires. Ainsi, Yanport a pu déduire à posteriori les ristournes moyennes consenties par les vendeurs dans ces villes en 2020.
C’est ainsi qu’au deuxième semestre 2020, à Paris, les acheteurs n’ont pu négocier en moyenne que des ristournes anecdotiques de l’ordre de 1,9% du prix d’annonce, estime Yanport. A contrario, à Marseille, les acheteurs ont pu obtenir des rabais atteignant en moyenne 6,4% du prix affiché au départ… Mieux encore : Yanport a réussi à identifier dans chacune des villes étudiées et découpées en zones IRIS*, les rabais moyens obtenus quartier par quartier par les acheteurs en 2020 ! Découvrez dans les cartes ci-dessous, réalisées en exclusivité pour Capital, les marges de négociations moyennes à l’intérieur de chacune de ces villes.
Bordeaux : des négociations élevées autour de Lac-Bacalan
A Bordeaux, les marges de négociation étaient certes assez faibles en 2020, autour de 3,5% en moyenne. Dans la plupart des quartiers de l’hyper-centre, relève Yanport, les rabais consentis plafonnent sous la barre de 2% du prix d’annonce ! Néanmoins, dans les quartiers de Lac-Bacalan ou autour de la gare Saint-Jean, les acheteurs peuvent espérer des ristournes dépassant 6%.
Lyon : des négociations possibles dans les 5e, 8e et 9e arrondissements
A Lyon, dans le centre-ville (1er, 4e, 6e et 7e arrondissement), les biens à vendre trouveront généralement preneur au prix d’annonce. “Le marché est tendu. Il ne faut pas espérer pouvoir beaucoup négocier”, prévient Yanport. En revanche, relève les auteurs de l’étude, il sera plus facile de négocier des ristournes de l’ordre de 6% autour de La Plaine-Charcot (5e arrondissement), 8% autour de La Plaine (8e arr.) et même de 8,5% vers le quartier Saint-Rambert (9e arr.).
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