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La dette chinoise dépasse équivaut à plus de 300% de son PIB.
La hausse boursière de ces derniers mois a été quasi-intégralement nourrie par les GAFAM… et ces valeurs risquent, symétriquement, de nourrir le prochain krach. Prudence…
Comme nous le disions hier, sur les marchés, une petite poignée d’entreprises fournit le plus gros du travail : Google (Alphabet), Apple, Facebook, Amazon et Microsoft.
Cependant, si quelques actions sont capables de pousser le marché vers le haut… elles pourraient aussi bien le tirer dans la direction opposée.
Comme le dit Goldman Sachs :
« Les marchés haussiers étroits finissent par mener à de grosses baisses. »
Une stratégie « d’investissement passif » ne fait qu’accentuer le problème : on le dit passif car il progresse et recule avec la marée.
Après le quasi-effondrement de 2008, la Réserve fédérale a déversé des océans de liquidité sur les marchés.
La marée a donc monté… et porté tout le monde avec elle, à commencer par les GAFAM et autres géants du secteur.
Une bonne partie de l’argent de Wall Street s’est alors concentré dans ces actions… avant de décider de se détendre, de piquer un petit somme… et d’attendre que la gravité les porte vers des hauteurs encore jamais atteintes.
Les « fondamentaux » n’avaient plus la moindre importance. Pour la Réserve fédérale, ce sont des règles au charme désuet.
La fin des fondamentaux
La Réserve fédérale a donc créé une bulle artificielle. Sven Henrich, analyste chez NorthmanTrader, se lamente :
« Un marché qui ne tient jamais compte de la réalité parce qu’il la compense par de constantes interventions est par définition dans une bulle artificielle.
Les banques centrales se moquent éperdument de la libre détermination des prix et de la libre circulation du capital.
Les marchés dans leur ensemble sont désormais un système dont le fonctionnement est conditionné par la politique des banques centrales… »
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