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Lorsqu’on parle d’or, il n’est pas nécessaire de connaître les secrets de l’orfèvrerie pour réussir à discerner l’authentique du factice. Voici trois astuces pour différencier rapidement le métal précieux de son doublon en plaqué ou de sa (pâle) copie sans valeur.
Le poinçon
La technique qui recquiert le moins d’efforts est celle de regarder si votre bijou est poinçonné. Le poinçon présente aussi l’avantage de vous donner de plus amples informations sur votre bijou (initiales de l’artisan-joaillier, densité de l’alliage, etc…). Il peut-être frappé sur les extrémités, à l’intérieur ou à l’extérieur du bijou, et peut prendre la forme d’un dessin ou d’initiales.
Le plus souvent, le poinçon est constitué de chiffres. Ces derniers indiquent le nombre de carats de la pièce.
Un bijou est considéré en or à partir de 9K, soit neuf parts sur une base de 24 grammes de bijou (les quinze parts restantes étant constituées de zinc, argent, nickel, cuivre, etc…). Le titre légal français de désignation de l’or massif est fixé à 18K (même système, généralement directement symbolisé par un poinçon à tête d’aigle ou de cheval). L’or 24k enfin est pur à 99,9%, mais ne s’utilise pas en bijouterie car il serait trop mou.
Attention cependant : le seul poinçon peut ne pas suffire pour authentifier un bijou. Certains bijoux en plaqué or sont poinçonnés (5, 10, 20, ou 40 our le nombre de microns que comporte la dorure, ou la mention «GALV», voire un simple «G» pour dorure galvanique). De même, une pièce contrefaite peut également présenter un poinçon.
L’aimant
Tester le magnétisme du bijou peut-être un bon révélateur. Un bijou qui réagit à l’attraction d’un aimant n’est pas en or, puisque ce métal n’est pas magnétique. Assurez-vous simplement d’utiliser un aimant suffisamment puissant (les magnets à réfrigérateur sont trop faibles).
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