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Le gouvernement prépare l’opinion à des « décisions difficiles » à venir.
Les finances publiques britanniques se détériorent à grande vitesse en raison du coût des mesures d’aide à l’économie déployées ces derniers mois pour affronter les conséquences de la pandémie. Conséquence : pour la première fois, la dette publique du Royaume-Uni a dépassé fin juillet le seuil des 2.000 milliards de livres pour la première fois, a annoncé vendredi 21 août l’Office national des statistiques (ONS).
La dette s’établissait précisément à 2.004 milliards de livres le mois dernier, soit 227,6 milliards de plus qu’un an plus tôt. Elle représentait en juillet plus de 100% du produit intérieur brut (100,5%) pour la première fois depuis 1961.
Le gouvernement a dépensé des dizaines de milliards de livres pour maintenir à flot l’économie depuis le confinement, avec en particulier le dispositif de chômage partiel, censé protéger des emplois. Dans le même temps, la brutale récession consécutive à l’arrêt de l’activité pendant des semaines a réduit considérablement les rentrées fiscales.
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