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De plus en plus de Français envisagent de déménager dans une ville moyenne. Une attractivité bienvenue pour ces espaces longtemps délaissés, qui représentent des opportunités d’investissement. À condition de prêter attention aux particularités de ces marchés…
Un quart des actifs prêt à quitter les métropoles
Le confinement et l’essor du télétravail auront peut-être eu des effets durables sur l’immobilier. De nombreux citadins ayant goûté à cette nouvelle forme de travail – et l’ayant adoptée – envisagent de quitter les grandes agglomérations pour changer de cadre de vie. Un quart des actifs des métropoles, soit près de 400 000 habitants, souhaiterait en faire partie. Parmi eux, 50 % s’intéressant même aux villes moyennes [1], une solution face à un marché de l’immobilier saturé, notamment à Paris et dans sa périphérie.
Accessibles, peu chères et connectées, les villes moyennes semblent avoir la cote. Connexion haut débit et proximité avec la capitale représentent des critères importants pour les cadres parisiens. Bonne nouvelle : de nombreuses villes moyennes sont aujourd’hui reliées à Paris par le TGV, disposent d’une connexion rapide et, cerise sur le gâteau, affichent des prix défiant toute concurrence, de 2 255 € le m2 à Angers à 1 896 € à Clermont-Ferrand [2]. Dans des villes comme Limoges, Troyes ou Saint-Brieuc, le prix au m2 médian des appartements anciens ne dépasse pas 1 300 €.
Un dynamisme retrouvé pour les villes moyennes ?
Grandes oubliées de l’aménagement du territoire, les villes moyennes ont longtemps souffert de nombreux handicaps. Centres-villes peu dynamiques, fermeture des services publics, désertion de la classe moyenne au profit des périphéries rurales… Affublées de nombreux maux, les villes moyennes ne sont depuis plusieurs années plus la destination privilégiée des Français qui préfèrent le dynamisme des grandes villes ou le calme de la campagne. Pour autant, ces derniers semblent aujourd’hui retrouver de l’intérêt pour des villes à taille humaine.
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