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On entend un peu partout que les conséquences du coronavirus seront négatives pour l’économie mondiale. L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) se déclare inquiète pour les pays qui ne sont pas prêts à faire face à l’épidémie et qualifie l’épidémie du coronavirus « d’urgence de santé publique de portée internationale ».
Vendredi dernier, les premiers Français rapatriés de Chine sont arrivés dans les Bouches-du-Rhône.
Dans cette vidéo, je décrypte la signification de ces messages alarmistes et leurs réelles conséquences pour l’économie avec l’aide de Charles Gave.
La directrice générale du FMI (Fond Monétaire International), Kristalina Georgieva a même déclaré que le coronavirus auraient très probablement des conséquences négatives pour l’économie mondiale dès le premier trimestre 2020, lors d’une conférence au Centre pour le développement mondial.
La nouvelle patronne du FMI (Fond Monétaire International) a rappelé les conséquences immédiates évidentes : le secteur du voyage, du tourisme, de l’industrie en Chine, et, au-delà de la Chine, de l’Asie sont, dit-elle “touchés” par l’épidémie.
Nous allons poser les vraies questions et vous dire tout ce qu’il faut savoir sur cette quarantaine inédite en France et l’épidémie qui l’a déclenchée.
Charles Gave nous donne son avis sur la tendance naturelle des médias à utiliser nos peurs pour attirer notre attention, revient sur le dernier épisode de risque épidémique provenant d’Asie, le SRAS (ou Syndrome respiratoire aigu sévère), qui était la première maladie grave et hautement transmissible à émerger au 21ème siècle.
Nous revenons ensemble sur la facilité des politiques à utiliser nos inquiétudes légitimes pour récupérer encore plus de pouvoir.
Mais surtout, nous allons rappeler certaines évidences, car si le coronavirus est effectivement hautement contagieux, il pourrait disparaître aussi vite qu’il est arrivé…
Peut-être répètera-t-il le comportement du SRAS, qui s’était propagé à toute vitesse de décembre 2002 à janvier 2003, pour repartir comme il était venu… en mars 2003.