rendement acceptable aux individus ou aux sociétés qui acceptent de leur prêter cet argent.
Par exemple, une société minière peut lever des fonds à 10 % d’intérêts afin d’étendre ses activités. Elle peut engager un courtier afin de vendre ces obligations. Il arrive qu’un tel dispositif tourne parfois à l’avantage de l’emprunteur, parfois à l’avantage du prêteur. Mais globalement, on atteint un équilibre.
Aujourd’hui, ce système n’existe presque plus. Désormais, qu’on le veuille ou non, le gouvernement joue un rôle majeur pour déterminer qui a accès au capital. D’une certaine façon, il a réussi à se mettre au centre du système d’allocation des capitaux. Voici pourquoi.