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La justice du canton de Vaud a tranché, cinq ans après les faits. Le jeune ingénieur qui avait découvert une « pépinière » de pièces d’or dans un terrain privé, d’une valeur d’1,2 million d’euros n’en a pas empoché la moitié, comme il l’espérait, mais n’a pu garder que 19 pièces du magot.
L’histoire, révélée par le quotidien suisse 24 Heuresest pour le moins insolite, et pleine d’enseignements.
Les faits remontent à 2016. Un trentenaire, ingénieur et randonneur, découvre au gré de sa promenade, sur un chantier à Saint-Prex, dans le canton de Vaud, quelques pièces d’or. Ebahi par sa première découverte, il revient sur les lieux, à plusieurs reprises, pour finalement récolter au fil du temps et amasser quelques 5 676 vrenelis -monnaie suisse- et napoléons, soit environ 1,3 million de francs suisses à l’époque, et l’équivalent d’1,2 million d’euros.
D’abord, il décide de cacher sa trouvaille dans des alpages du Jura vaudois, puis se ravise. Il rapporte finalement à la police le magot, pensant qu’il pourrait en garder la moitié. C’était sans compter sur les deux propriétaires des lieux où il l’avait trouvé.
Le chantier se trouvait en effet sur un terrain privé. Plainte est alors déposée contre le jeune randonneur « pour s’être introduit sans autorisation sur leur propriété privée ».
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