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Les montants des crédits accordés par les banques a augmenté de 9% sur un an au premier trimestre 2020.
Le confinement, que de nombreux Français ont passé dans leur appartement sans jardin ni terrasse, a donné des envies de changement aux ménages. Si le risque d’un reconfinement généralisé est minime, le gouvernement ne voulant pas affecter encore plus l’économie française qui va déjà connaître sa pire année depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les ménages voudraient changer d’air. Mais pour ce faire, il va falloir être riche…
Les banques serrent la vis, les ménages modestes exclus des crédits
Le courtier en crédit immobilier La Centrale du financement a dévoilé, le 23 août 2020, une étude sur les paramètres qui conduisent les banques à accorder, ou non, un crédit immobilier, passage obligé pour tout ménage ayant un projet d’achat. Or, les banques semblent inquiètent de la situation économique française… et doivent composer avec les nouvelles directives du HCSF (Haut conseil de stabilité financière) qui a, début 2020 et avant la crise sanitaire, lui-même serré la vis sur les crédits, leur longueur et le taux d’usure.
Ainsi, selon l’étude, c’est simple : soit vous êtes riche, soit vous n’aurez pas de crédit. Déjà, car les montants contracté ont augmenté de 9% au premier semestre 2020 sur un an : désormais, la moyenne des emprunts est de 208.297 euros. Une hausse due à la hausse généralisée des prix de l’immobilier en France. Et qui dit emprunt plus élevé dit… mensualités plus élevées, forcément.
Et puis les banques semblent vouloir de plus en plus d’apport… et ça pose un problème pour les ménages modestes. Toujours selon l’étude, l’apport pour que le dossier soit accepté doit être en moyenne de 20% du montant total de l’achat (au deuxième trimestre 2020), soit 47.700 euros. La raison ? Cela permet aux banques de prêter moins pour un même projet immobilier…
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