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Pour l’instant, l’Etat colmate les brèches ouvertes dans l’activité des entreprises par le COVID, avec une sincérité plus ou moins discutable. Mais la saison du rêve va s’achever, et le pire s’annonce désormais. Sur les prêts garantis par l’Etat, sur le chômage partiel, sur la fermeture des commerces non-essentiels, la ligne suivie relève de l’injonction paradoxale : personne ne sait où l’on va. Cette navigation à vue est signalée et mise en accusation par le Sénat. Les prochains mois devraient donner lieu à des désillusions, avec une probable remontée de la pression fiscale.
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« Selon Arnaud Marion, spécialiste reconnu de la gestion de crise et du redressement des entreprises, le pire est à venir. « Les statistiques sur les défaillances d’entreprises ne reflètent pas la réalité ». En juin, selon les données publiées par la Banque de France, elles ont diminué de 25,4 % par rapport à la période équivalente en 2019. Comment expliquer ce paradoxe alors que « beaucoup d’entreprises qui n’ont pas obtenu de prêt garanti par l’Etat sont déjà au tapis », selon Arnaud Marion. « Ceci s’explique à la fois par la période de confinement qui a affecté le fonctionnement des juridictions commerciales, et par l’adaptation de la réglementation qui accorde temporairement des délais supplémentaires tant pour apprécier l’état de cessation de paiement que pour le déclarer », a expliqué un communiqué de la Banque de France« .
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