Les rendements locatifs grimpent-ils ou non dans votre ville ?

Ces dernières années, les prix ont flambé bien plus vite que les loyers dans la plupart des grandes métropoles, affectant la rentabilité des investissements immobiliers. Mais pas forcément dans toutes ! Pour le démontrer, la Fnaim a comparé les évolutions entre prix et loyers moyens dans près de 30 des plus grandes villes depuis 2014.

L’envolée des prix dans certaines villes va-t-elle étrangler la rentabilité des investisseurs immobiliers ? Ces dernières années, dans la plupart des grandes métropoles, les prix moyens ont progressé plus rapidement que les loyers. Une excellente nouvelle pour ceux qui ont investi hier et qui peuvent aujourd’hui espérer de belles plus-values à la revente. A l’inverse, ceux qui souhaitent investir voient leur rentabilité fondre comme neige au soleil. Ce qui est logique : si les prix montent et que les loyers ne suivent pas, le rendement brut* de leur bien mis en location s’en trouve altéré. En d’autres termes, ils payent désormais plus cher pour obtenir approximativement les mêmes loyers mensuels.

Car ce sont bien les prix d’achat et les loyers qui déterminent le rendement brut d’un investissement locatif. C’est-à-dire sa performance financière théorique. Plus le rendement brut est élevé dans une ville, plus l’investissement sur place est juteux… En tout cas sur le papier. Car pour évaluer la performance financière réelle d’un bien, le bailleur devra bien évidemment prendre en compte dans son bilan les charges, impôts, taxes, frais de gestion, travaux éventuels, assurances, coût du crédit, etc. Et devra également intégrer un degré de risque locatif. C’est-à-dire une probabilité de voir son logement inoccupé pendant de longues périodes sans loyer, ou d’être confronté à des impayés.

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