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Nous l’avons déjà constaté, Joe Biden bénéficie d’un enthousiasme dithyrambique dans la presse française. Pourtant, l’analyse globale de sa politique devrait plutôt inquiéter les commentateurs quant à l’avenir de la première puissance mondiale. Au vu des principales mesures prises dans les domaines essentiels, on pourrait qualifier sa politique de socialo-mondialo-progressiste, à un niveau inédit :
– Politique keynésienne démentielle, avec un plan de relance de 1.900 milliards de dollars, du jamais-vu. De quoi creuser encore d’avantage les déficits publics, affaiblir un dollar déjà fortement atteint. De plus, les sommes seront affectées, pour 400 milliards de dollars, à des chèques directs aux ménages gagnant moins de 75.000 dollars pour les célibataires, 150.000 dollars pour les couples (Le Monde, 10/3/2021). De l’argent qui va pour une bonne partie filer tout droit dans les caisses des industriels chinois, vu le déficit commercial américain avec ce pays…
– Hausse massive des impôts, qu’il s’agisse des impôts sur le revenu, sur les sociétés, et bien d’autres taxes. La « relance » ne se fera donc pas par l’investissement des ménages et des entreprises, mais par la consommation, ce qui a très rarement fonctionné dans l’histoire économique des pays occidentaux.
– Droits des minorités, LGBT, Black Lives Matter : au lieu d’apaiser les tensions qui fracturent la société américaine, Biden choisit clairement son camp, celui des minorités, et entretient ainsi volontairement des foyers de tension majeurs à des fins purement électoralistes.
– Laxisme en matière d’immigration, prévision de régularisations massives de clandestins, Joe Biden va créer un appel d’air gigantesque à l’heure où des centaines de milliers de « Latinos » espèrent gagner le territoire américain.
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