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Avec un centre-ville devenu très prisé, les acquéreurs se dirigent vers la périphérie.
Français, politiques, observateurs… Tous s’accordent à le dire : l’arrivée du TGV en France a eu de nombreux effets positifs pour bon nombre de villes et villages français, les désenclavant parfois. Mais la mise en place des LGV (Lignes à grande vitesse) a eu aussi des conséquences sur le prix de l’immobilier. Comme à Tours par exemple, décrypte France Bleu, où depuis l’arrivée du TGV en 1991 les prix ont été multipliés par trois.
Plus attractive, la ville se retrouve aussi beaucoup plus proche de Paris et la demande explose. « Les prix ont triplé en 30 ans (…) Même si ça dépend grandement des quartiers, aujourd’hui, dans le centre de Tours, il faut payer en moyenne 2.800 euros le mètre carré », explique à nos confrères le président du syndicat immobilier la FNAIM (en ?) Indre-et-Loire, Vincent Briand. S’il reconnaît que ce n’est pas le seul critère, « ça joue » selon lui.
Plus de 3.000 entreprises
On est encore loin des prix parisiens qui dépassent les 10.000 euros le mètre carré, mais ils sont montés crescendo. Avec une densification du centre-ville, les gens sont aussi allés en périphérie et ce sont tous les prix qui ont augmenté. Dans l’hypercentre, les prix peuvent grimper jusqu’à 4.000 euros le m².
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