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Je vous ai d’abord expliqué qu’avec cette crise, les cours de bourse allaient baisser. Puis qu’ils ne baissaient pas parce que les marchés pensaient « MTR » pour les effets de le crise sanitaire en Chine. Car, souvenez-vous au début, tout est parti de la ville de Wuhan en Chine.
Les marchés pensent, et « on » les laisse penser (alors que déjà de très nombreuses informations laissent penser que nous sommes en présence d’un Cygne Noir), que les effets de la crise seront MTR pour maîtrisables, temporaires et réversibles, donc pas grave et même pas mal.
Les marchés tiennent en lévitation et se payent même le luxe de battre des records… Répit de courte durée.
Finalement la crise chinoise s’étend, car un coronavirus de ce type ne s’arrête pas comme cela. Délais d’incubation longs, virulence importante, grande contagiosité, c’est un virus de crise parfait.
Puis le virus se propage silencieusement d’abord, puis il éclate en Italie, en Iran, en Corée, et en France. Il progresse sournoisement actuellement aux Etats-Unis et risque de poser de grands problèmes dans les prochains jours.
Non seulement les effets ne sont plus MTR, mais ils deviennent cumulatifs. Si la Chine « reprend » elle devra le faire enfermée sur ses frontières et sans échange avec un reste du monde en pleine pandémie. Si la Chine est recontaminée, elle repart pour un autre pic épidémique… bref, un véritable casse-tête sanitaire (et le sujet de la vie est le plus important) et un enfer économique qui va s’ouvrir sous nos pieds (mais l’économie n’est que de l’intendance).
Les banques en première ligne.
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