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Les prix de vente de l’immobilier neuf ont augmenté de 3,4% sur un an en 2020.
À l’instar de l’ancien, voire plus encore, le marché de l’immobilier neuf souffre d’une pénurie de biens à vendre. Antérieur à la crise sanitaire, ce phénomène s’est accentué depuis celle-ci, hissant les prix de vente à des niveaux inédits. Dans quelles grandes villes acheter un logement neuf coûte-t-il le plus (et le moins) cher en 2021 ?
L’immobilier neuf : un marché sous (haute !) pression
Sur le marché de l’immobilier neuf, le choc entre une offre pénurique et une forte demande conduit inévitablement à un envol des prix de vente. Si la tension du marché du neuf préexistait à la crise sanitaire, force est de constater que les effets conjugués du coup d’arrêt dont ont fait l’objet les chantiers de construction lors du premier confinement et du ralentissement dont ont été victimes les permis de construire avant les dernières élections municipales sont loin d’avoir été absorbés… Mais alors que l’offre n’a jamais été aussi ténue, la demande, quant à elle, ne cesse de se renforcer. En témoignent les indices de fréquentation de nos sites dédiés à l’immobilier neuf. Le trafic y a enregistré 25 % de hausse depuis le premier confinement. Quant aux recherches portant sur les maisons, elles progressent de 9 % sur la même période. Une étude SeLoger montre par ailleurs que 41 % des porteurs d’un projet d’achat d’un bien immobilier neuf déclarent rechercher une maison.
Entre 2020 et 2019, et alors que les mises en vente ont reculé de 33,2 % (Source : FPI), le trafic sur nos sites dédiés à l’immobilier neuf enregistre 25 % de hausse depuis le premier confinement.
Dans l’immobilier neuf, les prix volent à haute altitude
Propulsés à des niveaux inédits par la pression qui s’exerce sur le marché de l’immobilier neuf, les prix de vente (4 310 €/m²) accusent 3,4 % de hausse sur 1 an. Toute chose étant égale, par ailleurs, le baromètre LPI-SeLoger nous apprend que sur le marché de l’ancien, les prix de vente signés augmentent de 5 % de hausse annuelle pour culminer à 3 605 €/m². Face à cette flambée des prix, les 3/4 (44%) des acquéreurs d’un logement neuf estiment toutefois que c’est encore le bon moment pour acheter. À l’inverse, une étude SeLoger révèle que 24 % des sondés pensent que le contexte ne se prête pas à l’achat d’un logement neuf. Pour 46 % des futurs acheteurs interrogés, la crise sanitaire peut susciter de nouvelles opportunités d’achat sur le marché du neuf. Enfin, interrogés sur l’évolution du prix de l’immobilier neuf dans les prochains mois, 46 % des porteurs d’un projet d’achat d’un logement neuf anticipent une hausse. Seuls 21 % prédisent un recul des prix et 23 % des sondés misent, quant à eux, sur un statu quo.
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