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Le risque de crédit, c’est le risque que les emprunteurs ne remboursent pas leurs crédits aux banques qui sont en général les prêteuses.
Pour que le risque de crédit soit derrière nous, que faudrait-il ?
Une très forte reprise économique, l’arrêt des mesures sanitaires que ce soit des confinements et autre pass qui viennent handicaper l’activité et donc la reprise, la fin des pénuries et que le soleil brille.
Le problème c’est que les oiseaux ne chantent pas si forts que cela et que la crise sanitaire, avec les nouveaux variants et l’échec de la vaccination, semble loin d’être terminée.
Au contraire, on tourne en rond et cela pourrait repartir comme en 40 !
Résultat ?
Les risque de faillites sont toujours là car tout dépendra de la capacité de l’Etat à solvabiliser tout le monde, ou pas !
Alors oui, nous n’en avons évidemment par terminé avec le risque de crédit.
« FRANCFORT (Reuters) – Les banques de la zone euro sont confrontées à un risque de détérioration accrue de la qualité de leurs portefeuilles de prêts, d’autant que beaucoup n’ont pas correctement ajusté leurs mécanismes de contrôle pour prendre en compte le caractère exceptionnel de la crise actuelle, a déclaré Andrea Enria, responsable des activités de supervision financière de l’institution.
« Certains signes montrent que la détérioration de la qualité des actifs provoquée par la pandémie n’a peut-être pas encore atteint son point culminant car elle pourrait avoir été masquée et certainement retardée par les mesures de soutien exceptionnelles liées à la pandémie », a-t-il déclaré selon des propos cités par Eurofi Magazine mercredi.
« Le point crucial tient au fait que le contrôle des risques de crédit dans certaines banques n’a pas été suffisamment ajusté aux spécificités de ce choc, ce qui implique qu’il ne permet pas une évaluation en temps voulu et proactive de l’évolution du risque de crédit en regardant au-delà des mesures de soutien publiques », explique-t-il ».
Et il serait raisonnable que les banques, pour éviter la faillite, provisionnent encore et encore et réduisent les dividendes afin de se préparer au pire, même si celui-ci finalement est évité ce que l’on espère toujours tous.
Charles SANNAT
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