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Selon la FNAIM, le prix des logements a bondi de 7% en 2021 : +8,5% pour les maisons et +5,6% pour les appartements. Une nouvelle géographie immobilière se dessine avec une forte progression de la cote en zone rurale et dans les villes moyennes. Une tendance qui devrait se poursuivre en 2022.
En 2021, c’est la province et les maisons qui tirent le marché vers le haut.
Nombre de transactions : 1.200 000. Un chiffre record avec une progression importante du nombre des ventes dans les villes moyennes, en périphérie des grandes villes et en zone rurale.
Une hausse générale des prix de 7% qui se répartit en +8,5% pour les maisons et +5,6% pour les appartements.
En milieu rural, les prix ont continué sur leur lancée et ont augmenté de 7%. Les citadins s’éloignent des grandes villes quand leur situation le leur permet, ils partent pour plus de confort, plus d’oxygène, de préférence en périphérie des grandes villes et dans les villes dites «moyennes». En milieu rural, on constate l’arrivée constante de citadins et la hausse des prix est notable.
Marché moins dynamique dans les grandes villes les plus chères. Stagnation des prix à Paris, hausse de 4,1% en Ile-de-France, hausse de 6,3% dans les dix plus grandes villes et 7,6% dans leur banlieue, de 8,4% dans les villes moyennes, de 12,4 % dans les stations balnéaires.
Et pour 2022 ?
Le nombre record de ventes et la demande grandissante ont fortement asséché les stocks de biens à vendre, ce qui alimente la hausse des prix. On le sait bien les arbres ne montent pas jusqu’au ciel et nul ne peut dire pour l’instant si le nombre de ventes se maintiendra à un tel niveau cette année.
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