Paris : appartements de luxe sur lesquels vous pouvez négocier de belles ristournes

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A Paris, de nombreux appartements haussmanniens qui s’arrachaient jadis comme des petits pains peinent désormais à trouver des acquéreurs. Certains propriétaires doivent maintenant consentir à de grosses réductions de prix s’ils veulent espérer vendre leur logement.

Oui, l’immobilier de luxe bat des records en France depuis le début de la pandémie. Mais à Paris, la crise sanitaire provoque aussi des contrecoups inattendus. Barnes, Daniel Féau, Coldwell Banker, Sotheby’s Realty, Hosman, Vaneau : tous ces réseaux spécialisés dans le segment feutré de l’immobilier haut de gamme rapportent ainsi un même phénomène. Les grands appartements haussmanniens, qui s’arrachaient traditionnellement (parfois en deux ou trois jours) autour de 1 à 3 millions d’euros sont désormais boudés par les familles aisées. Enfin, pas tous les logements : les plus exceptionnels, à l’instar de cet hôtel particulier acheté à une somme folle par le milliardaire Xavier Niel, gardent leur cote intacte, c’est-à-dire au plus haut. “Les biens de grande qualité restent à un niveau de prix élevé et se vendent vite”, résume le réseau Barnes, “le nec plus ultra restant celui disposant d’un espace extérieur.”

Mais concernant l’appartement haussmannien traditionnel de trois chambres ou plus qui, par malheur, se révéleraient imparfaits aux yeux des acquéreurs exigeants, ce n’est plus la même histoire. “Le cahier des charges des candidats est généralement très précis : étage élevé, vue dégagée, bonne exposition, et le moindre défaut est sanctionné”, détaille ainsi le réseau Vaneau installé dans le VIIe arrondissement de Paris. Faute de présenter des logements irréprochables, beaucoup de propriétaires doivent alors négocier des ristournes inhabituelles sur ces biens… une petite révolution dans la ville Lumière. Conséquence directe de cet assainissement du marché, les délais de vente s’allongent pour les propriétaires de ce type de logement. “Avant-crise, même les appartements au rez-de-chaussée, comportant des défauts, pouvaient être vendus en l’espace de trois jours face à la demande. On assiste à un vrai rééquilibrage qui correspond mieux aux qualités intrinsèques de ces logements”, estime Stanislas de Dénichin, le fondateur de la néo-agence Hosman.

Des ristournes autour de 10% du prix

Pour illustrer ce coup de mou, les réseaux Coldwell Banker et Hosman ont communiqué à Capital quelques exemples de logements ayant récemment fait l’objet d’âpres négociations de prix. Au boulevard Montparnasse, dans le VIe arrondissement, un appartement de 158 mètres carrés mis en vente par Hosman pour un prix de 2,350 millions d’euros a ainsi finalement été cédé quatre mois plus tard… avec 160.000 euros de remise. Dans le quartier de Saint-Germain, il a fallu consentir à baisser le prix de 3,125 millions d’euros à 2.950 millions pour trouver un acquéreur un mois après la mise en vente.

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