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Flatlooker, spécialiste de la gestion locative, estime qu’un propriétaire aura 25 sujets à traiter chaque année lorsqu’il met son bien en location. Si parmi ces impératifs, il y a 15 tâches administratives prévisibles, Flatlooker dénombre aussi 10 tâches imprévues. Et certains incidents coûtent cher.
(BFM Immo) – Lorsqu’un propriétaire met un bien en location, certaines tâches lui incombent chaque année. En analysant environ 1.000 logements construits en 1850 et 1950, Flatlooker, spécialiste de la gestion locative en ligne, dénombre 15 tâches annuelles qu’il considère comme prévisibles. Il s’agit notamment de la déclaration d’impôt, de la régularisation des charges, des appels et quittances des loyers ou encore de l’indexation des loyers. Mais à ces tâches, le spécialiste de la gestion locative rappelle qu’il ne faut pas oublier les aléas. Et ils peuvent se révéler nombreux et coûteux.
Un propriétaire devra traiter 10 tâches imprévues chaque année. 7 qui relèvent de l’administratif et 3 de la gestion d’incidents. Tout dépend de l’ancienneté du bien et de l’entretien de l’immeuble, mais Flatlooker constate que « les travaux de plomberie ou de chauffage sont les plus fréquents puisqu’ils interviennent en moyenne chaque année. L’électroménager et l’ameublement arrivent en seconde position (tous les deux ans), puis suit ensuite le dégât des eaux (tous les deux ans et demi) ». Tous les trois ans environ, un propriétaire devra s’occuper d’un problème d’électricité, de serrurerie ou d’huisserie. Et tous les 5 ans, un aléa lié à l’humidité, l’aération ou la VMC.
Un budget de 240 euros par an
Et ces incidents ont un coût. Ainsi, en moyenne, un propriétaire dépensera 240 euros par an pour les régler. « Les travaux de plomberie ou chauffage représentent 40% du budget moyen annuel (environ 96 euros TTC). C’est un poste non négligeable pour le propriétaire, comparé aux autres incidents (entre 3% et 8% des 240 euros) », constate l’étude. Flatlooker précise que les problèmes d’humidité ou d’aération sont, certes, les moins nombreux mais ils peuvent se révéler coûteux (17% du budget).
Sans surprise, une question d’ordre administratif se règle plus rapidement (deux échange soit, deux allers-retours) alors qu’un incident technique en prend 5 ou 6. Et ils peuvent durer dans le temps, en fonction du nombre de parties prenantes au problème comme le syndic, un autre copropriétaire et les assurances.
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