Ces dix grandes villes qui résistent le mieux à la crise

Assiste-t-on à la fin de la flambée des prix dans les grandes villes ? Selon une étude de Meilleurs Agents, oui. L’estimateur immobilier en ligne indique que les prix moyens du mètre carré se sont déjà stabilisés dans les onze métropoles les plus peuplées : -0,1% au cours du mois de septembre. Dans le détail, ils baisseraient même légèrement à Paris (-0,5% sur le mois de septembre), Lille (-0,4%), Lyon (-0,2%), Toulouse (-0,3%), Montpellier (-0,6%) et Nice (-0,5%). “Ces chiffres attestent bien d’un nouveau cycle pour le marché immobilier, interprète le groupe. La fièvre acheteuse du printemps et de l’été apparaît bel et bien terminée.”

Le marché immobilier se calme, certes, du fait de la crise. Mais pas à la même vitesse partout. Pour identifier les villes les plus “résilientes”, Meilleurs Agents a classé pour Capital les 50 plus grandes communes (hors Ile-de-France) selon quatre critères : l’évolution des prix ; le pouvoir d’achat immobilier (c’est-à-dire la capacité d’acheter) des habitants ; le taux de chômage dans la commune ; et enfin le rapport de force entre le nombre d’acheteurs et de vendeurs. Ces quatre critères permettent au groupe d’anticiper un marché plus ou moins vif dans les prochains mois, et même d’estimer une évolution de prix future pour les onze plus grandes métropoles.

Des marchés dynamiques à Grenoble, Rouen et Orléans

En étendant son étude aux 50 plus grandes communes (hors Ile-de-France), Meilleurs Agents a donc pu isoler les dix qui, selon ces quatre critères, ont la plus forte probabilité de résister à la crise. Ces dix villes sont : Angers, Clermont-Ferrand, Dijon, Limoges, Grenoble, Orléans, Poitiers, Quimper, Reims et Rouen.

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