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Au centre des plus grandes métropoles, il est quasiment impossible de trouver des maisons à des prix inférieurs à 200.000 euros. Il faut donc s’éloigner des villes, parfois jusqu’à une heure de distance, pour dénicher des pépites bon marché…
Les périphéries des grandes villes ont rarement été aussi convoitées. Et pour cause : grâce au développement du télétravail, et souvent dans l’espoir de gagner quelques mètres carrés supplémentaires, beaucoup de citadins n’hésitent plus à déménager dans des maisons situées en agglomération. D’ailleurs, cette pression immobilière se ressent sur les prix. D’après le réseau Century 21, les prix des maisons ont ainsi flambé de 6,8% en moyenne entre les premiers semestres 2020 et 2021 au niveau national. Du côté des notaires du Grand Paris, en petite couronne de la capitale, on enregistre des hausses de 5,4% entre l’été 2020 et l’été 2021 et même +7,7% en grande couronne. “C’est le retour en grâce du pavillon. Il ne s’agit pas ici de grandes migrations, mais plutôt de sauts de puce réalisés pour gagner en qualité de vie”, commente Century 21.
Or, acheter un tel bien coûte évidemment (très) cher. D’après les notaires, en mars 2021, le budget médian pour s’offrir une maison en Ile-de-France était ainsi de 338.000 euros. A Lyon de 395.000 euros, à Bordeaux 359.000, à Nantes 332.000, à Toulouse 301.000… Soit des prix prohibitifs pour de nombreux de ménages. En France en effet, le budget médian des acheteurs se situe plutôt aux alentour de 160.000 euros, selon la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim). Faute de ressources suffisantes pour s’offrir le pavillon qu’elles désirent à proximité de leur lieu de travail, beaucoup de familles doivent donc s’éloigner des hypercentres.
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