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En France, en 2021, la marge de négociation moyenne était de 4,7%.
Sur une grande partie du territoire, le marché immobilier s’est tendu avec les conséquences que l’on sait : une demande qui reste forte mais des biens à vendre qui se raréfient et des marges de négociation qui brillent par leur ténuité… Il reste toutefois possible de négocier. Région par région, voici de combien vous pouvez espérer négocier le prix de vente d’un bien immobilier.
Des négociations moins fréquentes (et moins musclées !) qu’avant
Sur un marché de l’immobilier hyper-tendu – car pénurique – comme l’est devenu le marché hexagonal, force est de reconnaître que ce sont les vendeurs qui ont la main et que, confrontés à une offre anémique, les porteurs d’un projet d’achat immobilier n’ont bien souvent pas d’autre choix que de renoncer à négocier. Sur un marché où l’on peut dénombrer jusqu’à dix (et parfois davantage !) acheteurs sérieux en attente pour un même bien, il n’y a rien d’étonnant à ce que les acquéreurs ne négocient plus, de peur de voir le logement qu’ils souhaitent acquérir, leur passer sous le nez ! Alors qu’il y a encore de ça quelques années, les acquéreurs négociaient quasi systématiquement les prix affichés, quels qu’ils soient, ce n’est plus le cas. En clair, seuls les logements surestimés et dont le prix de vente affiché apparaît comme étant totalement déconnecté de la réalité du marché immobilier local ou encore qui présentent des défauts, font l’objet de négociations.
C’est en région Rhône-Alpes qu’on négocie le moins
Selon les données qu’a compilées le Baromètre LPI-SeLoger, c’est en région Rhône-Alpes que les marges de négociation atteignent leur plus bas niveau, toutes régions et tous biens confondus. Dans cette – ancienne – région – administrative -, les prix de vente affichés font l’objet d’une négociation qui avoisine les 3 %. Avec une marge de négociation se limitant à 3,8 % du prix de vente affiché, la région Île-de-France se hisse sur la deuxième marche du podium.
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