La décroissance, première victime du virus ?


Fermeture d’entreprises, augmentation du chômage et de la précarité, dégringolade de la richesse nationale… C’est peu dire que la crise sanitaire porte un rude coup à nos économies menacées par une récession durable. Du coup, parce qu’elle n’est plus là, on rêve d’un retour de la croissance. Faut-il donc jeter aux orties le concept de décroissance ou de sobriété volontaire, qui paraissait avoir le vent en poupe il y a peu ? Les avis divergent.

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