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« Ceux qui ont des connaissances, ne font pas de prévisions. Ceux qui prédisent, n’ont pas de connaissance », prévenait Lao Tseu.
2 500 ans plus tard, personne n’est encore capable de prédire l’avenir, comme on a chaque année l’occasion de le vérifier au travers du petit jeu obligé des pronostics de début d’année sur les marchés boursiers.
Il semble que les analystes, tout comme les économistes et les gérants médiatiques, n’astiquent pas suffisamment leurs boules de cristal pour que la direction que vont prendre les marchés actions ne leur devienne transparente.
Il en va évidemment de même pour l’or.
Un modèle avec plus d’inexpliqué que d’expliqué
A ce jour, personne n’est parvenu à établir un modèle expliquant ou permettant de prédire de manière systématique le comportement du cours de l’or en fonction d’un facteur unique ou d’une combinaison de facteurs.
C’est d’autant plus logique qu’à la différence des actions et des obligations, aucun manuel de finance de marché ne propose de théorie de la formation du prix du métal. Et pour cause, l’or ne produit pas de rendement – en dehors des cas bien particuliers des dépôts d’or et des swaps d’or.
Le Conseil mondial de l’or a bien développé Qaurum, présenté comme un « outil d’évaluation, pour analyser comment l’impact de certains de ces facteurs clés peut influencer la performance de l’or dans une série de scénarios macroéconomiques hypothétiques personnalisables ». Mais, le moins que l’on puisse dire, c’est que la précision de ce modèle laisse à désirer.
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