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Pour 83% des Français, le télétravail va se pérenniser.
Mauvaise nouvelle pour les consommateurs : la pénurie de puces électroniques va continuer encore durant des mois, ce qui maintiendra les prix élevés et les retards. Et ce n’est pas une prédiction d’un analyste qui le dit, mais les principaux concernés : les fabricants de puces.
Puces électroniques : une pénurie jusqu’en 2023 ?
Selon Ars Technica, c’est simple : tous les fondeurs, donc les producteurs de puces électroniques, sont formels. La pénurie de puce se poursuivra durant plusieurs mois voire sur l’ensemble de l’année 2022… et pourrait n’être réellement résolue qu’en 2023. Certes, la situation devrait s’améliorer à mesure que la production s’adapte à la forte demande, mais des retards et une pénurie plus ou moins fortes devraient être à l’ordre du jour.
Certains fondeurs sont plus pessimistes que d’autres : Pat Gelsinger, PDG d’Intel, juge que plusieurs années seront nécessaires avant que l’offre de son entreprise puisse répondre à la demande, si celle-ci se maintient. Or, avec la généralisation du télétravail et l’avènement des voitures électriques, en plus de la demande classique dans l’électroménager par exemple, ce devrait être le cas.
Chez TSMC (Taïwan Semiconductor Manufacturing Company) et Nvidia, un peu plus d’optimisme se remarque. Le premier pense que 2023 devrait connaître une amélioration sensible, tandis que chez Nvidia ce pourrait être dès 2022. Mais, d’une manière générale, il va falloir composer avec une offre inférieure à la demande, qui de son côté est en croissance, durant des mois et des mois.
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