[ad_1]
C’est peut-être un lieu commun, mais… bailleurs, avez-vous anticipé l’impact des taxes foncières, des frais de notaires ou encore des divers travaux sur les revenus réels de votre location ? Voici des simulations qui montrent à quel point ces paramètres peuvent plomber votre rentabilité.
Bailleurs, on ne vous le répétera jamais assez : n’oubliez pas d’anticiper le coût des travaux, des charges locatives et des taxes foncières lorsque vous investissez dans un appartement. Auquel cas, vous risquez d’aller au-devant de graves désillusions… Voilà ce que met en lumière une étude de la plateforme spécialisée en investissement locatif Beanstock. Pour Capital, la startup a d’abord calculé la rentabilité brute des investissements dans 13 grandes villes où elle est implantée. Pour faire simple, cet indicateur correspond à un ratio entre le prix d’achat moyen et le loyer que le bailleur peut espérer percevoir.
Puis, Beanstock a affiné ce ratio en tenant compte cette-fois des taxes foncières locales, des travaux de rafraichissement usuels à prévoir, et des dépenses incompressibles pour les bailleurs telles que les “frais de notaires”. Toutes ces dépenses ont été estimées sur la base des frais réellement constatés en moyenne dans les locations gérées par Beanstock*.
Des villes plus ou moins “piégeuses” pour les investisseurs
Résultat : certaines communes, qui paraissent très attractives si l’on se focalise uniquement sur les prix et les loyers sur place… se révèlent en réalité “piégeuses” pour les investisseurs. En effet, dans certaines villes, le poids des taxes foncières plombe la rentabilité. Et ceci sans même prendre en compte le montant des charges et des travaux, qui dépendent du type de bien dans lequel vous investissez.
[ad_2]