La facture colossale de 424 milliards d’euros pour la France

424 milliards d’euros, c’est la facture colossale du Covid-19 pour la France, enfin la facture… A ce stade, car cela pourrait continuer à enfler.

On ne vous le dira pas.

Vous devez croire en la fiction et au récit national et international lié à la vaccination qui est la sortie de crise.

En réalité, il y a un scénario pas du tout assez évoqué qui est celui de la crise sans fin, et c’est mon scénario central pour désormais réaliser mes prévisions et stratégies patrimoniales. J’y reviendrais, mais en gros les finances publiques seront déstabilisées pour toujours, le traitement monétaire sera inévitable et nous entrons dans un monde d’inflation tel que nous n’en avions plus vu depuis très longtemps.

En attendant, le Figaro écrit que : « entre mesures d’urgence, de relance et baisse des recettes, le coût de crise sanitaire de 2020 à 2022 est vertigineux pour les caisses de l’État, a confié Olivier Dussopt, le ministre des Comptes publics, au Figaro

L’épidémie de coronavirus va laisser une profonde trace sur les finances publiques françaises. Pour lutter contre cette crise sanitaire, le gouvernement prévoit de consacrer la somme astronomique de 424 milliards d’euros entre 2020, 2021 et 2022. C’est l’équivalent de 20 % du Produit intérieur brut (PIB) de 2020″ !

« L’essentiel de la facture va se répartir en 2020 et 2021. D’après les données désormais définitives de Bercy, le coût économique de l’épidémie, creusé l’année dernière par le très dur confinement du printemps, a atteint 158 milliards d’euros, répartis entre baisses de recettes fiscales et dépenses exceptionnelles (Fonds de solidarité, chômage partiel….). Il sera ensuite de 171 milliards d’euros cette année – dont 56 milliards dédiés aux mesures d’urgence et, sans doute, un peu moins pour la relance. En 2022, la facture totale devrait s’élever à 96 milliards d’euros. Pour ces trois années, l’État table sur des déficits respectifs de 9,2 %, 9 % et 5,3 % ».

Les variants seront… invariants !

Nous sommes confrontés à une épidémie de coronavirus.

Nous avons laissé le virus contaminer le monde entier.

Il est donc partout.

Il y a donc partout des réservoirs immenses à mutations.

La bataille de la vaccination est en réalité déjà perdue.

Il y aura d’autres épidémies, elles « seront » nouvelles, « contre toute attente », « on ne pouvait pas savoir ».

Mais si, nous le savons déjà.

Les coronavirus mutent, sont très instables. Ils passeront tôt ou tard les barrières vaccinales.

Le monde s’offre au mieux un répit à la durée indéterminée.

Au pire, il n’y aura pas de répit.

424 milliards d’euros… A ce stade !

Oui, vous comprenez bien. 424 milliards c’est à ce stade.

Si l’histoire continue.

Si ce coronavirus se comporte comme tous les coronavirus que nous connaissons, alors, ces 424 milliards ne seront qu’un lointain souvenir rapidement.

Qu’une première estimation.

Car les coronavirus ne disparaissent pas.

Les coronavirus ne meurent pas.

Les coronavirus une fois échappés et dans la nature y font leur vie à côté des autres espèces.

L’humanité vit avec des coronavirus depuis la nuit des temps.

Ils provoquent le rhume.

Nous allons devoir apprendre à vivre avec une nouvelle famille de coronavirus.

Nous allons devoir apprendre à vivre avec parce que nous avons perdu la bataille de l’endiguement.

Nous en reparlerons.

12 000 milliards de dollars pour le monde

« Selon une estimation de juin dernier du Fonds monétaire international (FMI), la crise devrait coûter plus de 12 000 milliards de dollars (10 100 milliards d’euros) à l’économie mondiale. Une facture inédite, en raison du caractère global de l’épidémie ».

A ce stade.

A ce jour.

La vie est un terrible processus darwinien.

Il n’y a aucune égalité là-dedans.

Même pas celle en droit.

Même pas celle des chances.

Pourtant il faudra danser encore.

Comme disait Sénèque, ce qui n’est pas très jeune j’en conviens, « la vie ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est apprendre à danser sous la pluie ».

Il faudra donc danser encore.

Restez à l’écoute.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

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