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Portés par une forte demande, surtout concernant les appartements avec extérieur et les maisons, les prix dans la ville ont bondi de presque 10 % en un an. Les professionnels anticipent toutefois un répit pour la fin d’année.
Le marché immobilier nantais, déjà très dynamique avant la crise sanitaire, s’est totalement emballé à la fin du premier confinement. « Les acquéreurs sont revenus en masse et ont particulièrement visé les appartements avec un extérieur et les maisons », précise Marie-Virginie Durand, notaire déléguée à la communication de la chambre de Loire-Atlantique.
Face à cette déferlante, les vendeurs étaient nettement moins nombreux. « Cela a amplifié le phénomène de pénurie, qui était déjà assez marqué dans certains secteurs, et la hausse des prix s’est poursuivie », ajoute Me Durand.
Cette dernière année, des records ont été atteints dans la ville. Le prix des logements y a augmenté en moyenne de 9 % entre septembre 2020 et septembre 2021, selon Meilleursagents.com. Ces dernières semaines cependant, le phénomène semble se tasser.
Car même si l’offre reste supérieure à la demande, les acheteurs ne suivent plus toutes les prétentions des vendeurs. « Depuis la rentrée, nous avons constaté une nette baisse du nombre de compromis dans nos études », confie Me Durand. D’ici à la fin de l’année, les prix pourraient donc se stabiliser dans la ville et sa grande couronne.
Vue dégagée sur l’Erdre
Actuellement, les appartements se négocient entre 5 000 et 6 000 euros le mètre carré dans le cœur ancien. Ils frôlent les 6 500 euros le mètre carréquand ils sont de grande qualité et situés dans l’hypercentre, entre la place Graslin et le château des Ducs de Bretagne. Mais pour atteindre ces sommets, ils doivent être en parfait état et avec un extérieur, un ascenseur et un parking.
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