Comment vendre son logement au bon prix quand le marché immobilier ralentit

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Bien informés, les acheteurs de maison ou d’appartement se font plus exigeants. Les vendeurs, eux, vont devoir s’adapter en calibrant leur prix de vente.

Après des mois très dynamiques, le marché immobilier semble marquer le pas. Le nombre de compromis de vente signés a ainsi reculé de 5,6 % au troisième trimestre, selon le dernier baromètre LPI-SeLoger. Dans le cadre d’une étude menée du 1er au 30 septembre, PAP a par ailleurs constaté une baisse de 37 % des recherches à l’achat sur son site par rapport à septembre 2020, et de 6,5 % sur deux ans.

« La frénésie qui avait démarré en 2020 après le premier confinement s’atténue », estime Laetitia Caron, directrice générale de PAP. « Actuellement, les acheteursconnaissent très bien le marché et ne font pas d’offre s’ils estiment qu’un bien est proposé trop cher », ajoute Vincent Mogniat-Duclos, qui dirige la start-up Nomad Homes.

Les propriétaires souhaitant vendre leur bien vont donc sans doute souvent être amenés à revoir leurs prétentions à la baisse. Mais fixer le juste prix implique de bien se renseigner sur le marché local. Car, en dépit de l’essoufflement de la demande, certains secteurs restent très demandés. PAP note, par exemple, un intérêt toujours très fort pour les petites villes de moins de 50 000 habitants et les zones rurales.

Les recherches à l’achat y ont augmenté de 21,9 % par rapport à 2019… tandis que les métropoles, surtout Paris, enregistrent une baisse significative, avec environ un quart de recherches en moins. Les grandes villes entre 100 000 et 200 000 habitants suscitent également moins d’intérêt (– 16,1 %).

Une enquête Ipsos publiée fin octobre et réalisée fin août à la demande de l’Agence nationale de la cohésion des territoires, de l’Association des petites villes de France (APVF) et la Banque des territoires confirme l’attractivité des petites villes : 89 % des personnes interrogées portent un regard positif sur la vie dans ces communes. Près d’un quart des répondants n’y vivant pas estiment qu’une installation dans une petite ville est « probable » ; c’est même 34 % chez les 25-34 ans. L’essor du télétravail joue : huit personnes interrogées sur dix pensent qu’il constitue « une opportunité durable de revitalisation des petites villes ».

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