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Une étude du réseau d’agence immobilière Century 21 pointe la forme étincelante du marché de l’ancien en ce début d’année, et en particulier des maisons situées en périphérie des grands centres urbains.
Le marché de l’ancien se porte très bien. C’est tout du moins la conclusion du réseau immobilier Century 21, filiale de Nexity. Sur un an, au premier trimestre 2021, le volume des ventes a tout simplement bondi de 18,2% pour les maisons, et de 12,6% pour les appartements. Le rythme des ventes des biens anciens depuis janvier est ainsi bien plus puissant qu’en 2020, et même 2019, année pourtant record en la matière. Les prix de vente sont en conséquence tirés vers le haut. En moyenne, ils atteignent 2.240 euros par mètre carré pour les maisons et 3.703 euros pour les appartements, des niveaux “records”.
Le temps durant lequel des grands centres urbains étaient la locomotive du marché ne semble plus d’actualité. “Les ménages privilégient les villes moyennes qui gravitent autour des grandes métropoles”, analyse le réseau immobilier, le télétravail réduisant le temps passé dans les transports. Réalisant de belles plus-values sur la vente de biens situés en hypercentre, des familles migrent “quelques kilomètres plus loin” pour décrocher un bien plus spacieux, et si possible avec jardin. Century évoque ainsi le “retour en grâce du pavillon ».
Le “réajustement” parisien
Ces mêmes pavillons, situés autour des grandes métropoles, se vendent désormais bien plus rapidement (86 jours en moyenne contre 95 il y a un an). Des niveaux jamais vus depuis 10 ans pour des délais de vente. Et les marges de négociation diminuent en parallèle, signe de la tension du marché en la matière.
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