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Les petits commerces américains souffrent beaucoup plus que la propagande pro-Biden ne le laisse penser en France. 34% d’entre eux ont fermé leurs portes en un et un trimestre. Le Great Reset se met donc en place… avec les craintes d’une reprise en K, c’est-à-dire d’une apogée du commerce en ligne et d’une destruction massive de l’ancienne économie. C’est bien l’objectif recherché par la pensée ambiante, favorable au Big Government et à une remise à plat des économies mondiales. Avec une javellisation active de la concurrence « émiettée », comme on dit à Bercy.
Vus de la bidenomania française (ah ! un président américain qui augmente les impôts !), les États-Unis sont devenus un paradis sur terre depuis la défaite de Donald Trump. Mais, de l’aveu même des soutiens démocrates, la situation est un peu plus compliquée qu’il n’y paraît. C’est sur le site du Forum de Davos, pourtant partisan d’un Great Reset qui diminuerait fortement le nombre de petites entreprises, que nous en trouvons la meilleure description.
34% des petits commerces américains ont fermé…
Alors que les Français entendent à longueur de journée que la campagne de vaccination massive menée par Biden permet un retour à la vie normale outre-Atlantique, la réalité « ressentie au sol » est un peu différente. De nombreux pans de l’économie américaine sont en effet impactés par les mesures de « protection » qui restent en vigueur de façon très variable selon les territoires. Ainsi, selon les chiffres pbuliés par le Forum de Davos, 34% des petits commerces ont fermé depuis le début du coronavirus.
Voilà un très beau chiffre qui montre l’efficacité des mesures de restriction adoptées depuis le début de la pandémie. Personne ne sait combien de vies ces mesures ont permis de sauver, mais tout le monde peut savoir combien d’entreprises ont disparu à cause d’elles.
Pour mémoire, près de la moitié de la main-d’oeuvre américaine est employée dans ces entreprises.
In fact, 99.9% of all businesses in the U.S. qualify as small businesses, collectively employing almost half (47.3%) of the nation’s private workforce.
Ce n’est donc pas une vaine opération que de supprimer un tiers de la main d’oeuvre de ce secteur. Cela représente tout de même 15% de la population employée condamnée au chômage.
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