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Le marché immobilier rouennais connaît de fortes hausses de prix et des volumes de transactions record depuis le début de la crise. Il semble marquer le pas mais certains biens partent toujours sans annonce…
Une cathédrale jouxtant les bords de Seine, des maisons à colombages, un des derniers cimetières à galeries de France – l’aître Saint-Maclou : Rouen (Seine-Maritime) séduit par son cachet. Elle attire aussi les particuliers, notamment franciliens, en quête de logements spacieux, d’autant qu’elle est située à seulement une heure et demie de train, environ, de Paris. Pas étonnant, donc, que la capitale normande ait fait le plein d’acheteurs immobiliers depuis la fin du premier confinement.
« Le marché a été des plus dynamiques ces douze derniers mois, avec une hausse des ventes de 11 % », constate Thibaut Cambier, notaire dans la ville. Côté prix, c’est la frénésie. « Ils ont augmenté de 7 % à 10 % sur un an, selon les quartiers», indique Raphaël Plut, directeur de l’agence Century Harmony à Rouen.
« Cette hausse s’est surtout répercutée sur les petits appartements (de 20 à 50 m²) et sur les maisons – les acheteurs appréciant particulièrement les espaces extérieurs du fait du confinement. Les maisons à moins de 300 000 euros et les studios entre 70 000 et 80 000 euros partent d’ailleurs sans annonce », détaille-t-il.
Permis de louer
Si le prix moyen pour un appartement à Rouen est de 2 448 euros/m², selon les données de MeilleursAgents, « il atteint 3 000 euros à 3 300 euros dans les rues des Carmes et du Gros-Horloge, dans le centre historique de la ville », note M. Plut, précisant qu’« il y a peu de négociations dans ces deux secteurs ».
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