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Entre l’inflation qui pourrait durablement s’installer et l’excessive faiblesse des rendements de l’épargne, les épargnants payent le prix fort de la situation actuelle. Comme nous vous l’expliquons ici depuis de nombreuses années, les taux d’intérêt négatifs sont en train d’euthanasier les épargnants.
Les épargnants s’appauvrissent. L’épargne ne rapporte plus rien ; L’inflation accélère. Pas besoin d’augmenter les impôts pour financer les déficits publiques et la dette colossale laissée par 15 années de crise ; Les taux d’intérêt négatifs représentent un impôt prélevé sur les épargnants.
Cette situation, nous l’anticipons depuis de nombreuses années. Déjà en 2016, nous écrivions cet article « Les taux d’intérêt négatifs sont ils la nouvelle euthanasie des rentiers ?« . Depuis, rien n’a changé, et les faits confirment l’analyse que nous vous proposions à l’époque.
Bref, il faut agir ! Détenir de l’épargne est source d’appauvrissement et de perte de pouvoir d’achat.
L’épargne, c’est l’argent que vous accumulez sur des placements bancaires, des livrets, des PEL et autres fonds euros d’assurance-vie.
Il y a 20 ans, lorsque je commençais l’exercice de mon métier de conseil en gestion de patrimoine, épargner était source d’enrichissement sans effort. Il suffisait de choisir un bon fonds euros pour obtenir un rendement autour de 4% à 6% alors que l’inflation restait faible autour de 2%.
A l’époque, le fonds euros de l’assurance-vie était la bonne réponse à toutes les mauvaises questions ! Résultat, les encours d’épargne sur les fonds euros des contrats d’assurance-vie représentent des montants considérables.
Sur un encours total d’environ 1800 milliards d’euros épargnés dans l’assurance-vie, ce sont -+1300 milliards qui sont épargnés dans le seul fonds euros. Les unités de compte ne représente que -+500 milliards d’euros. Bref, 1300 milliards d’euros d’épargne qui subit les taux d’intérêt négatifs et l’euthanasie des épargnants, et cela sans comptabiliser les sommes placés sur les livrets A et autres PEL.
Les épargnants sont les véritables victimes de la situation financière actuelle… et ce n’est pas prêt de s’arrêter. L’inflation et des taux de rendement réels négatifs sont terriblement efficaces pour régler le problème de l’endettement excessif de nos états.
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