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Résultats des mesures sanitaires anti-Covid19 dans différents pays. L’épidémie Covid19 date de près de 3 mois : un premier bilan des différentes approches adoptées par les pays du monde confrontés au coronavirus peut donc être établi.
Les différentes stratégies possibles
Schématiquement trois approches étaient envisageables :
– Appel à la responsabilité individuelle
Avec fermeture des lieux très fréquentés, musées, salles de sport, bars, sexe-clubs, maisons closes et coffee shop et quarantaine individuelle volontaire en cas d’infection clinique. Cette approche basée sur la responsabilité individuelle a été celle de la Suède et des Pays-Bas qui ont privilégié la transparence, la liberté et les droits de leurs citoyens.
– Recours aux mesures médicales d’endiguement
Qui ont fait leurs preuves contre les épidémies sévères : fermeture des frontières, séparation des infectés et des personnes saines avec tests cliniques et diagnostiques et recherche opiniâtre des contacts. Taiwan, Singapour, la République de Corée, le Japon, l’Allemagne et l’Autriche ont opté pour l’endiguement et la transparence.
– le confinement global aveugle et policier
Croire à la validité des prédictions sur simulation d’un mathématicien N. Ferguson et de son équipe de l’Imperial College[2] au service de l’OMS et de Bill Gates
Imposer un confinement policier astreignant à domicile ensemble infectés potentiels soumis à des gros risques (comme les soignants exposés chaque jour), et renvoi par les hôpitaux dans leurs EHPAD des vieillards infectés, mais non pris en charge etc.) et les non infectés sans tentative de séparation. Cette technique autoritaire a été choisie par l’Italie, la France, l’Espagne et la Belgique. Et en analogie avec le régime totalitaire de la Chine prise curieusement pour modèle, les gouvernements de ces pays alignés sur la pire des dictatures ont fréquemment menti à leurs populations, tant sur les raisons réelles de leur choix que sur l’efficacité de leurs mesures, accumulant les déclarations contradictoires (port ou non du masque, intérêt ou non des tests, traitement utile ou non. Cette stratégie de mensonges répétitifs bien connue aboutit à une confusion mentale de la population qui la conditionne à la soumission.
Les résultats sur la mortalité Covid19, cible officielle du confinement
Le but des mesures sanitaires était officiellement de limiter la propagation de l’infection afin d’éviter les évolutions les plus graves et en particulier les décès.
Le taux d’infection observé est trop dépendant du nombre d’observations cliniques et de tests diagnostiques réalisés et de déclarations officielles, qui diffèrent considérablement d’un pays à l’autre et ne peut donc constituer un indice fiable de l’efficacité des mesures.
La mortalité représente donc actuellement le moins mauvais des critères objectifs et l’Organisation Mondiale de la Santé la base de données la plus fiable. Les résultats de mortalité du 6 mai 2020, publiés dans le « Covid19 situation report (N°107) » constitueront donc notre critère de jugement.
Mortalité des pays en responsabilité individuelle
Les pays qui ont seulement fait appel à la responsabilité individuelle souffrent d’une mortalité Covid19 par million d’habitants dans la moyenne européenne : 283/million pour la Suède, 302 pour les Pays-Bas.
Mortalité des pays en confinement aveugle et policier
Ceux qui ont confinés policièrement leurs populations souffrent des mortalités les plus élevées du monde 50% à 100% plus élevés que les précédents : 692 /million en Belgique, 548 en Espagne, 485 en Italie 409 en France.
Mortalité des pays en endiguement traditionnel
Les gouvernements qui ont opté pour l’approche médicale traditionnelle historique d’endiguement, mettant en quarantaine les seuls infectés ont le mieux protégé leurs populations avec les mortalités les plus basses : 3/million à Singapour, 4 au Japon, 5 en Corée, 69 en Autriche, 84 en Allemagne.
Le confinement aveugle et policier adopté en France constitue donc la plus mauvaise stratégie, si le but était sanitaire.
L’application désordonnée du confinement avec des zones quasiment libres comme les quartiers dits sensibles, et d’autres localités dont le maire pour des raisons électorales a décidé de ne pas contrôler ses administrés, contrastant avec la chasse au promeneur en forêt.
Elle a été aggravée par le refus d’hospitaliser les plus de 75 ans[3], et du décret Rivotril [4] donnant l’injonction aux médecins de ne pas les admettre en réanimation (même si disponibilité de lits), de ne pas leur donner de traitement à visée curative comme la chloroquine ou des antibiotiques et l’obligation de les renvoyer dans leur Ehpad sans isolement imposé les premières semaines d’avril.
Cette politique de refus de traitement des seniors âgés, sans tenir compte de leur état physiologique et sur un critère unique d’âge, les consignes de les sédater par Rivotril dès qu’une détresse apparaitrait aboutissant à la mort dans les 8 jours. Cette politique eugéniste non consentie, ni par les familles éloignées par le confinement et le silence, ni par le senior non averti, a abouti à l’hécatombe maintenant connue dans les EHPADs et éventuellement au domicile où la même politique fut appliquée. Les malades appelant le 15 et âgés de plus de 75 ans se voyaient imposer de rester au domicile sous doliprane et leur généraliste de prescrire du Rivotril préparé dans la chambre du patient, que le soignant présent en cas d’aggravation (même légère) serait autorisé à injecter sur avis téléphonique du médecin.[5]
Cette politique délibérée décidée par un groupe de médecins dépendant des agences régionales de santé, et curieusement acceptée dans le silence par certains médecins (pas tous !) a augmenté largement la mortalité des seniors isolés et pas forcément malades du Covid19[6], que le confinement était censé protéger. Le désastreux bilan quotidien du directeur général de la santé sur toutes les télévisions a participé à accroitre la panique et la soumission des français à l’enfermement injuste et policier imposé et fait tout de de même douter de la pureté de leurs intentions.
Dégâts sanitaires collatéraux du confinement à la française
Le confinement policier français a aussi entraîné des multiples dégâts sur la santé des français, sur la société, sur la vie démocratique et des dommages considérables sur l’économie [7].
Du point de vue médical, le « plan blanc »[8] a entraîné l’arrêt des traitements et/ou suivis des maladies chroniques (hypertension, diabète, cancers), source de pertes de chances de survie dont le bilan chiffré sera lourd. Il a également bloqué le diagnostic de nouvelles pathologies infectieuses, cancéreuses etc. qui se sont révélés pendant le confinement total et sont restées évolutives en l’absence de diagnostic et donc de traitement. Cet épisode aura clairement démontré les limites de la télémédecine que nous gouvernants veulent imposer depuis longtemps. Le Mythe du tout informatique.
LE BLOC [9] et autres représentants des chirurgiens de France alertent en un communiqué adressé aux plus hautes autorités de l’Etat :
« Nous constatons chaque jour et de plus en plus l’aggravation des morbidités et de la mortalité des malades non COVID. Les patients présentent des états aggravés avec des retards diagnostiques et thérapeutiques lourds de conséquences. Toutes les spécialités médicales sont concernées ».
Edicté pour lutter contre le risque COVID19, le plan blanc a maintenant des effets délétères pour la santé publique, alors même que l’épidémie est presque éteinte sur une grande partie du territoire.
Son rapport bénéfice/risque est devenu catastrophique ».
Au-delà des retentissements gravissimes sur toutes les maladies organiques, les troubles psychologiques liés à l’enfermement, bien décrits dans la littérature médicale se sont traduits par des crises d’angoisse parfois spectaculaires, une augmentation de plus de 30% des violences familiales faites aux femmes et aux enfants et de nombreux suicides[10].
La rupture des relations sociales des enfants et des adolescents nuit à leur épanouissement et a augmenté chez certains la dépendance de toutes sortes et particulièrement aux écrans.
La longue durée du confinement aggrave les addictions, de nombreux adolescents se recroquevillant sur eux-mêmes et leurs relations virtuelles, refusant de plus en plus de sortir et de se confronter à la vie réelle.
Ce syndrome atteint de plus en plus d’adultes au fur et à mesure du prolongement de l’enfermement et fait craindre une explosion des troubles psychologiques et psychiatriques à court, moyen et long terme, même chez les personnes ayant « apparemment » bien supportées le confinement. Un problème dans 5 ou 10 ans peut faire ressortir la frustration liée à la privation de liberté. Les psychiatres ne seront pas au chômage de sitôt. Les professeurs du secondaire prévoient des phobies scolaires, des décrochages majeurs d’enfants jusque-là adaptés. Les conséquences de cette prison inutile[11] ne sont pas près d’être quantifiées.
Complications sociétales du confinement
Chez les adultes, le confinement a séparé les salariés en deux groupes :
-ceux qui perçoivent l’intégralité de leur salaire, sans travailler nécessairement selon le métier, ou en télétravail, et dont un certain nombre ont avoué que ne pas se lever le matin est bien agréable, tout en sous-estimant peut-être les séquelles de cette prison acceptée dans l’immédiat.
-les plus précaires dont le salaire a été diminué ou supprimé (intérimaires, autoentrepreneurs, travailleurs non déclarés) qui voient avec angoisse la détérioration de leur situation financière.
Chez les sportifs de haut niveau, qui visaient les compétitions internationales voire les jeux olympiques, l’arrêt de leur entraînement journalier lié à la fermeture des stades et des piscines les a mis sur la touche pour un long moment, d’autant que leurs concurrents allemands, japonais, roumains et chinois (pour la plus grande partie du territoire, seule la province de Wuhan ayant été confinée), américains (dont seulement un certain nombre d’états démocrates ont confiné sur le modèle français)) etc. ont poursuivi leurs entrainements dans de meilleures conditions.
Les musiciens de haut niveau s’entrainant en orchestre ont subi aussi de forts dégâts. La liste des professions abimée serait longue.
Et tous ceux qui sans atteindre ces hauts niveaux de performance pratiquent des activités régulières, partie intégrante de leur vie qu’ils ont dû interrompre brutalement : musique, théâtre, sports variés, clubs de littérature etc.
A quoi a servi véritablement ce confinement policier ? Les lois d’exception votées au Parlement et déclinées en une vingtaine d’ordonnances
L’instrumentation de l’épidémie pour détruire par ordonnances les acquis sociaux qui avaient échappé à la loi travail et suivantes accumulées depuis cinq ans sous le ministre de l’économie devenu président, est patente.
Fini les 35 heures et l’avantage des RTT souple, le choix des congés payés etc.
L’une des premières lois « anti covid19 » s’est attaquée au plus symbolique d’entre eux : les congés payés et la durée hebdomadaire du travail, sans même limiter ces régressions à la durée de la crise.
La durée légale du travail est maintenant limitée à 48 heures (comme il y a 50 ans). Le patronat peut maintenant décider les dates de prise de RTT (6 jours du confinement seraient considérés comme RTT), modifier les dates de congés payés, réduire leur durée.
De telles mesures constituent une rupture grave du pacte social scellé après la Libération et font craindre des mouvements sociaux très importants rapidement ou à l’occasion d’une étincelle un jour ou l’autre.
La gouvernance par les mensonges contradictoires, manœuvre manipulatrice classique[12]
Dans la population, les innombrables mensonges du gouvernement, dont les plus ridicules sont ceux des masques et des tests, ont discrédité la parole de l’Etat et pourtant les français continuent à les croire contre tout bon sens : le gouvernement a dit que les enfants transmettent le virus et nous avons le plus grand mal à leur faire admettre que ce mensonge a été basé sur une analogie avec la grippe, analogie qui s’est révélée fausse. Un mensonge de plus, mais intériorisé si intensément que les enfants vont en être les victimes, et les parents les bourreaux.
Les articles et vidéos se succèdent pour dénoncer l’échec objectif du confinement et pourtant trop de citoyens ont peur de sortir, comme de mettre leurs enfants à l’école.
Le choix par le gouvernement et les médias d’experts médicaux aux liens d’intérêts dissimulés et étroits avec des laboratoires désireux de mettre sur le marché des médicaments concurrents de la chloroquine a entraîné une défiance envers le corps médical officiel soupçonné de corruption. Le dernier sondage IFOP montre d’ailleurs que les deux tiers des français ne font plus confiance au gouvernement pour résoudre la crise.
L’économie française souffre déjà gravement du confinement, mais le pire reste à venir
D’après l’Insee, les 2 mois de confinement ont déjà amputé le PIB de 2020 de près de 10% du fait de l’arrêt de secteurs économiques majeurs (construction, commerce, transports, hébergement et restauration, industries automobile et pétrolière) et le gel des commerces non vitaux et des professions libérales dont beaucoup ne s’en relèveront pas.
D’après la Banque de France, le Produit Intérieur Brut a reculé de 32% sur la quinzaine de mars confiné, entrainant une chute de 6% au premier trimestre. Cette chute constitue la pire contre-performance trimestrielle en France depuis 1945. D’après les dernières données de l’institut national des statistiques, la France est entrée en récession.
Les conséquences à moyen terme risquent d’être beaucoup plus sévères. Certains se rassurent en estimant (comme Ferguson à propos des séniors) que ce sont les moins viables qui seront éliminés, ceux qui auraient fait faillite même sans le confinement ; peut-être, mais est-ce le rôle d’un gouvernement de précipiter la faillite des entreprises les plus fragiles ?
Pour l’année 2020, les prévisions économiques sont terribles pour la France avec un recul de notre PIB supérieur à 10% (jamais atteint depuis la création de l’INSEE) et un taux de chômage supérieur à 10%.
Contre-productif du point de vue sanitaire, délétère sur la société, le confinement policier se comporte comme une arme de destruction massive de notre économie, entraînant chômage massif et pauvreté.
La démocratie française victime du confinement décidé par E. Macron
Des pays comme Taiwan, la république de Corée, la Suède et les Pays-Bas ont donné lors de la crise du Covid19 des leçons de démocratie à la France.
Ainsi que l’a résumé le ministre de la santé de Taiwan « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de cacher les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques et pertinentes ». Pour y parvenir le gouvernement et de nombreux députés ont utilisé les médias sociaux officiels mais aussi Facebook, LINE et YouTube pour tenir le public bien informé sur tout, du nombre de masques disponibles à la stratégie mise à jour, en ne mentant jamais. Armés d’informations transparentes sur l’épidémie de coronavirus, les Taïwanais ont suivi activement les consignes du gouvernement pour enrayer la propagation du virus en se lavant les mains et en portant des masques et en se signalant aux autorités lorsqu’ils se sentaient malades pour être mis en quarantaine et protéger ainsi leurs proches.
Cette adhésion aux politiques, basée sur la confiance dans les démocraties asiatiques, mais aussi aux Pays-Bas et en Suède a été la source d’un regain de popularité de leurs dirigeants. A l’opposé, dans les pays qui ont appliqué le confinement policier sanctionné par des mauvais résultats médicaux, la colère gronde et le discrédit des dirigeants culmine.
Dans l’histoire de l’Humanité, il est en effet exceptionnel qu’un si petit nombre de dirigeants aient réussi à nuire aussi gravement à un si grand nombre de leurs citoyens.
En France, la dissimulation, les mensonges et des directives inhumaines ont disqualifié l’action gouvernementale et a miné la confiance de la population
Mensonges et dissimulations relayées par médias dont les actionnaires sont communs avec BIG Pharma.
Dissimulation du rapport Ferguson qui a justifié la politique de confinement médicalement stupide. Ni les français, ni leurs députés n’ont pu l’étudier, le commenter ou le discuter avant le vote de fin Mars de la loi d’urgence sanitaire.
Le gouvernement n’a pas jugé utile de faire vérifier cette simulation apocalyptique par une équipe de médecins français, contrairement au ministère suédois. Les députés français ont voté l’état d’urgence sanitaire sans avoir pu étudier le rapport Ferguson. La Commission des Sciences du parlement anglais a interrogé ce même Ferguson. Il a reconnu sa considérable exagération des résultats obtenus par sa simulation mathématique[13].
Mais dans notre pays, le gouvernement a choisi le confinement total, la peur, les mensonges, et la propagande. Dissimulation sur l’état de nos hôpitaux, le nombre de place de réanimation et de respirateurs disponibles, le mensonge terrible sur la suroccupation des lits à côté de lits disponibles en privé comme en public mais inutilisables sur injonction de la dictature des ARS. Pas de masques en stock ? Ils sont déclarés, inutiles, moqués par la célébrissime Sibeth. Puis seront obligatoires dans les transports et les magasins à partir du 11 mai alors que l’épidémie se termine. Ça passe ! Pas de tests ? Les tests sont utilisés en priorité pour les membres du gouvernement, les députés et certaines personnalités et ils seraient imposés dans les écoles à la rentrée et ce malgré les publications qui se multiplient sur les faux tests, les erreurs et les tests contaminés venant de Chine (380000 au Canada révélés ce jour). L’épidémie terminée, cela va être très difficile de poursuivre dans cette voie.
La chloroquine menace le marché extrêmement prometteur du Remdesivir, de molécules nouvelles hors de prix et des futurs vaccins, soutenus par plusieurs membres du conseil scientifique d’E. Macron. Son usage est interdit (sauf aux armées et sous le manteau pour les élites). Les médias publient des mensonges innombrables sur le professeur D. Raoult et sur la chloroquine accusée de toxicité importante, d’inefficacité, mensonge d’autant plus grotesque que ce médicament était en vente libre jusqu’à janvier 2020 et que des millions de français en ont avalé à l’occasion d’un voyage en zone impaludée, sans la moindre surveillance.
Brimades inexplicables par la précaution sanitaire
Multiples brimades faites à la population sans aucune justification médicale : interdiction du littoral, des parcs, des forêts, des promenades à la campagne, ou en montagne, interdiction de monter à cheval pourtant indispensable pour la santé de l’animal, de faire de la navigation même seul, limitation horaire de la pratique du sport individuel…
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