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Alors que l’épidémie ne cesse de progresser, l’institution a activé fin février la cellule de crise sur le cash qui réunit banques, commerçants et convoyeurs de fonds.
Et si les Français ne se ruaient pas seulement sur les pâtes et le papier toilette, mais aussi sur les billets de banque ? C’est ce que craignent les autorités, alors que l’épidémie de coronavirus ne cesse de progresser. Le sujet est suivi de près par la Banque de France. Selon nos informations, l’institution a même activé sa cellule de crise « fiduciaire ».
Cette cellule dépend de « Robustesse », un groupe piloté par la Banque de France et créé en 2005. Il réunit tous les acteurs de la filière qui gèrent le « cash ». Sont notamment présents les banques, les transporteurs de fonds et les commerçants, qui ont de leur côté activé leur plan de continuité d’activité (PCA). « Le but est d’éviter une rupture dans les services et l’approvisionnement », explique une source qui participe aux échanges. « Tout est sous contrôle », souligne-t-on du côté de la Banque de France.
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