Le Great Reset veut remplacer le capitalisme par un socialisme écologique et autoritaire

Pour notre grand format du week-end, nous avons invité Philippe Herlin à nous parler du Great Reset, sujet auquel nous consacrons une série d’articles depuis plusieurs jours. Cet économiste libéral a pointé du doigt ce que nous avions déjà identifié dans nos articles : la tentation d’étatiser l’économie et de déployer ce que nous appelons un régional-socialisme pour modifier le fonctionnement économique actuel, et préserver les derniers profits possibles. L’intérêt de Philippe Herlin est de souligner le lien que le Great Reset du Forum de Davos établit entre le réchauffement climatique et la pandéie de COVID 19. Une interview à regarder avec attention.

La note que Philippe Herlin évoque peut être lue ici.

Soulignons, de conserve avec Philippe Herlin, que l’envie d’utiliser le COVID-19 pour accélérer la mise en place d’une économie verte, est l’axe essentiel du Great Reset. Cet axe n’a rien à voir avec la défense d’un capitalisme mondialisé comme le Forum de Davos en donne souvent le sentiment dans l’opinion publique.

Philippe Herlin met en lumière la vraie ambition de Davos : porter un nouveau modèle non pour le capitalisme pur, mais pour le capitalisme de connivence que les gouvernements profonds pratiquent avec tant de délice.

Philippe Herlin, docteur en économie, nous a accordé une interview sur le Great Reset, sujet auquel le Courrier des Stratèges consacre une longue série d’articles documentés.
C’était l’occasion pour Philippe Herlin d’évoquer l’instrumentalisation de la crise du COVID préconisée par le Forum de Davos pour accélérer la transformation du capitalisme en une économie “écologique” fondée sur une large étatisation des entreprises.

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