Les marchés actions, une vraie poule aux œufs d’or ?


Parmi les innombrables innovations apportées par l’homme, il en est une qui demeure constante et dont la pertinence n’est pas remise en cause par les âges : la productivité.

La productivité est à la fois la conséquence de notre évolution technologique, qui rend tous les défis techniques possibles, mais aussi sa cause, car dès lors que des gains de productivité sont réalisés, et s’ils sont réinvestis, alors ils permettent d’en générer davantage.

Ce cycle vertueux est responsable des formidables périodes de croissance que nous avons connu. Sur les marchés, le rendement de ces gains de productivité – les dividendes – sont l’incitation qui poussent les investisseurs à passer à l’acte. La question à se poser est de savoir si cela s’observe aussi dans les dividendes versés.

Dans cet entretien, Didier Darcet vous démontre qu’en moyenne, les dividendes versés aux actionnaires valent toujours 1g d’or. C’est un fait curieux qui tend à prouver que l’intelligence humaine, exprimée sur les marchés au travers des gains de productivité générés, sont plus intéressants pour un investisseur que le principe de rareté d’un actif tel que l’or.

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