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Il ne faut pas grand-chose en termes de baisse pour rendre nerveux les investisseurs dans l’or. L’inverse est d’ailleurs vrai : l’avarice peut se manifester rapidement après une petite hausse. Il est probablement vrai qu’aucune fièvre n’est comparable à la fièvre de l’or !
Pour éviter cet ascenseur émotionnel, mon conseil aux investisseurs est le suivant : faites la majorité de vos achats et de vos ventes à proximité des zones de support et de résistance majeures.
D’un point de vue pratique, et dans le but d’augmenter son patrimoine, les fluctuations du cours en dehors de ces zones d’achat et de ventes sont principalement du bruit.
Depuis que l’or a atteint la zone des 1566 $, il s’est replié jusqu’à la zone de support des 1465 $. Dans une telle situation, ma tactique est la suivante : j’achète de façon modeste lorsque l’or atteint la première zone de support. Et s’il atteint la seconde zone, je passe plus agressivement à l’achat. Actuellement, la zone des 1465 $ est propice à des achats modestes, tandis que la zone des 1397 $ commande des achats plus sérieux. Celle-ci est idéale pour les investisseurs qui veulent « charger la mule ».
De nombreux analystes majeurs se focalisent sur cette zone. Morgan Stanley envisage la zone des 1394 $ pour le premier semestre de 2020, même si leur scénario principal mise toujours sur 1515 $.
Chris Louney, de la Royal Bank of Canada, s’attend à voir l’or près de 1400 $ dans les mois à venir. Il anticipe ensuite une hausse jusqu’à la zone des 1600 $. On peut considérer la zone des 1350-1400 dollars en tant que zone de support massive. On ne peut garantir que le cours baissera jusque-là, mais si cela devait être le cas, les grandes banques deviendraient des acheteuses substantielles. Les partisans de l’or qui se soucient également d’augmenter leur patrimoine doivent se préparer à passer à l’achat à ce moment-là.