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Nous avons clairement l’impression qu’il existe une volonté politique de détruire l’économie de la France. On peut comprendre la panique de mars-avril ; par contre, le cirque actuel n’est rien d’autre que du sabotage et de la manipulation des chiffres par la propagande et le mensonge.
Le confinement aveugle (ne séparant pas les infectés de la population saine) a considérablement alourdi la mortalité naturelle du Covid19(1) et entraîné la plus forte réduction de notre produit national brut depuis 1945 (plus de 10%).
On pouvait espérer, qu’à la levée du confinement, les affaires repartiraient dans les secteurs les plus touchés par la crise, avec peut-être même un effet de rattrapage. Malheureusement ce n’est pas le cas et, malgré les soldes, le niveau des ventes reste toujours inférieur à celui de l’année dernière. Pôle Emploi a comptabilisé pour le mois d’avril une très forte hausse du chômage des demandeurs d’emploi sans aucune activité(2) après une hausse de 7,1% en mars et, fin avril, un total de 4,575 millions de chômeurs en catégorie A.
Depuis la levée du confinement, ce n’est pas à un rattrapage qu’on assiste, mais au contraire à la poursuite d’un marasme économique qui risque d’aboutir sur l’année 2020 à une perte de PIB encore plus importante que prévue initialement. Quelles peuvent en être les causes et que pourrait-on faire pour sortir de ce cercle vicieux ?
La propagande catastrophique permanente du gouvernement et des médias
Chaque jour le comité scientifique, le ministre de la santé, l’AFP ou les médias diffusent des informations trompeuses ou mensongères qui ravivent les angoisses de la population.
La liste des mensonges et manipulations serait longue ! Citons quelques perles : « le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés en réanimation est en hausse depuis deux jours (3) ». Oui, mais deux à trois personnes par jour sur 5000 lits de réanimation, quelle signification ? Le Conseil scientifique curieusement toujours en place malgré les révélations médiatiques de ses liens forts avec Gilead le laboratoire qui descend la chloroquine pour imposer son remdesivir 2000 fois plus coûteux que la chloroquine estime « hautement probable qu’une seconde vague épidémique soit observée à l’automne ou l’hiver(4) ». sur des simulations, rien que des simulations dont on a subi les lourdes conséquences avec le confinement « justifié » par des calculs trompeurs ; les maths ne se trompent pas à condition qu’on leur fournisse des hypothèses justes !
Le nouveau premier ministre Jean Castex, a appelé « chaque Française et chaque Français à rester vigilant » « Nous ne devons pas baisser la garde, le virus n’est pas en vacances(5), Dans les rues de Lille, le port du masque se généralise, et c’est très bien ainsi l’objectif est de se protéger pour éviter la perspective d’un reconfinement généralisé. » (6)
Le Monde « En France, une hausse confirmée des cas de Covid-19 depuis plusieurs semaines. Les derniers chiffres confirment une lente reprise de l’épidémie avec, jeudi, plus de 1 000 nouveaux cas positifs. Cela n’est pas dû à l’augmentation du nombre de dépistages, assurent les autorités(7)». Mensonge.
Pourtant d’après Santé Publique France, le taux de positivité des tests pratiqués a baissé régulièrement depuis deux mois avant de se stabiliser autour de 1%, ainsi que nous l’avions déjà signalé il y a deux semaines sur cette tribune. Sud-ouest : « Coronavirus en France : 14 nouveaux décès, 385 patients en réanimation » (8) . Le Progrès de Lyon : « Nouvelle remontée des hospitalisations à Lyon et dans le Rhône » (9) : pour 2 hospitalisés supplémentaires ? De qui se moque-t-on ? De nous tous !
L’épidémie est terminée, même le ministre a dû l’avouer !
En réalité, l’épidémie a quitté la France depuis 2 mois et aucun fait scientifique objectif ne permet de craindre une « deuxième vague » (10). Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui présentent des signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations et qui sont menacées de mort.
Or, lorsqu’on consulte les données officielles de Santé Publique France, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des hospitalisations, du nombre d’entrées en réanimation et du nombre de décès, indicateurs clés d’une épidémie ainsi que le montrent les graphiques suivants tirés de Santé Publique France que chacun peut consulter s’il est dubitatif :
Tests non fiables et dépassés
Les tests auraient été utiles en début d’épidémie pour séparer les infectés de la population saine que la clinique seule n’aurait peut-être pas reconnue, mais le gouvernement n’en a pas voulu (11). Actuellement pratiqués en quantité alors que le virus a perdu sa virulence initiale, ils permettent seulement de claironner que les « cas » -tests positifs et non patients, sont de plus en plus nombreux, sans préciser que le nombre réel de malades reste extrêmement faible. Et pour renforcer la panique, Santé Publique France vient d’inclure comme « indicateur d’alerte de l’épidémie le « nombre de consultations (12) pour suspicion de Covid » alors que cet indice ne fait que mesurer l’intensité de la peur que la propagande actuelle crée dans la population !
Ce climat de panique permanent n’est pas propice aux dépenses, ni aux investissements
Je me promenais hier dans une ville balnéaire du sud de la France. Dans les rues, l’affluence était considérable et de très nombreuses boutiques agréables affichaient des slogans aguicheurs « soldes » « deuxième démarque » « -70% » ; mais ces boutiques étaient presque totalement vides. Presque personne n’avait envie d’acheter de nouveaux vêtements ou des babioles, quand le gouvernement brandit la menace d’une nouvelle épidémie et menace d’un nouveau confinement et que le potentiel acheteur n’est pas certain de pouvoir reprendre son travail sans entraves. De plus, devoir porter un masque pour entrer dans ces boutiques, alors qu’une grande partie de la population a bien compris qu’il s’agit d’une décision politique et non sanitaire, rend l’idée même de shopping incongrue.
Et sur quel espoir de progression de chiffre d’affaires un investisseur pourra-t-il bâtir son business plan dans un pareil climat ?
Exemple de désinformation cruelle pour le commerce
La Mayenne constitue un exemple concret de la nocivité de cette propagande de la peur. Désignée en juillet par les autorités comme une zone où l’épidémie repartait avec « de nombreux foyers », la Mayenne a vu ses hôtels et ses lieux touristiques se vider. La Belgique, pourtant championne du monde de la mortalité par Covid19, a interdit les voyages « non-essentiels » de ses ressortissants vers le département stigmatisé ! Les mayennais craignant d’être pris directement pour cible, ont dû cacher leur origine sur leur plaque d’immatriculation pour éviter de se faire « vandaliser » la voiture lorsqu’ils quittent leur département. La gravité des conséquences économiques locales a obligé ses représentants à dénoncer le caractère inutilement catastrophique des annonces officielles et révéler les nombreuses erreurs des chiffres publiés par l’Ars locale !
Les mesures inutiles en fin d’épidémie freinent les achats et le tourisme
La peur induite par cette propagande catastrophique est renforcée par l’imposition de mesures sanitaires visibles. L’obligation du port du masque et le rappel permanent de garder ses distances de son voisin ravive la menace du virus qui guette, et rappelle que le voisin est devenu un ennemi mortel dont on espère se protéger par cette dérisoire armure.
Qui a envie de rentrer dans un magasin masqué quand il fait chaud ? Comment peut-on se renseigner réellement sur un objet séduisant quand un masque, instrument traditionnel du braqueur de banque, empêche de voir le visage, l’expression de son interlocuteur et d’en apprécier la communication non verbale ? Et pour se comprendre avec le masque et la distance, il faut crier pour s’entendre. Toute convivialité est détruite. Toute envie d’achat éteinte dans l’œuf.
Le confinement nous a coûté très cher ; les mesures sanitaires post confinement inutiles et coûteuses prolongent le suicide de notre économie
En mai, la commission européenne prévoyait une chute très forte de PIB dans les pays qui ont confiné sévèrement tels que l’Espagne, la Grèce et l’Italie (baisse supérieure à 9 %) et en France (8,2 %) alors que ceux qui ont adopté des mesures moins contraignantes comme l’Allemagne, la Pologne, les Pays-Bas ou la Suède s’en sortiraient mieux et plus vite.
Deux mois après le déconfinement les dernières prévisions placent la France comme la grande malade de l’économie mondiale avec une chute prévue de plus de 13% de PIB, 5 à 6 points de plus que l’Allemagne ou la Suède qui n’ont pas confiné aveuglément. Ces mesures sanitaires, d’autant plus inutiles que l’épidémie disparaît, nous coûtent de plus en plus cher.
Pour réveiller l’économie, le crédit ne suffit pas, il faut restaurer la confiance
On en est loin. La réponse gouvernementale à cette crise économique d’ampleur inédite a été jusqu’ici uniquement financière. Mais les affaires reposent aussi sur la confiance et la gestion calamiteuse de la crise a totalement discrédité la parole publique. Comment faire confiance à des gouvernants qui ont autant menti tout au long de la crise, refusent de reconnaître leurs erreurs et continuent à imposer des mesures coercitives injustifiées en les défendant chaque jour par des arguments contradictoires.
Pour relancer l’économie, il est essentiel que la communication gouvernementale devienne plus humble, qu’elle reconnaisse que des erreurs ont été commises, que le confinement a été décidé sous l’emprise de la peur et qu’il n’a pas été bénéfique comme l’a courageusement fait la première ministre norvégienne13 alors que, pourtant, la mortalité directe du Covid19 dans son pays est l’une des plus basses européennes.
Expliquer encore et encore pour surmonter cette peur !
Il faut le claironner partout : l’épidémie est pour l’instant terminée en France en montrant les courbes officielles.
Préciser que l’augmentation des porteurs de virus est une bonne nouvelle tant que les nombres de malades et d’hospitalisations continuent de baisser 14, car l’immunité qu’il crée rendra le retour éventuel de la maladie encore plus improbable.
Promettre qu’il n’y aura pas de second confinement car le premier a été un échec imprévu.
Ces annonces redonneraient l’espoir à la population qui pourrait enfin se tourner de nouveau vers l’avenir pour travailler, se réunir, consommer, revire normalement.
Mais nos officiels ne sont pas nordiques ; il est malheureusement douteux qu’ils aient le courage d’Erna Solberg.
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