[ad_1]
Dans le « Grand rendez-vous de l’immobilier » (Capital / Radio immo),Eléonore Crevon, responsable d’agences LaForêt Immobilier à Paris, fait le point sur la nouvelle réglementation sur les remplacements de chaudières au fioul.
Chaque mois, le « Grand rendez-vous de l’immobilier » (Capital / Radio Immo) répond à vos questions par le biais de sa séquence « Ça vous concerne ». Nos experts – avocats, notaires, agents immobiliers – dénouent pour vous les problèmes juridiques les plus complexes et vous livrent leurs conseils avisés que vous envisagiez de vendre, d’acheter, de louer ou de rénover votre logement. Dans cette séquence, Eléonore Crevon, responsable d’agences LaForêt Immobilier à Paris répond à une question d’Evelyne toujours du groupe Facebook le Club des proprios, groupe géré par Capital. Evelyne envisage d’acheter un appartement dans un immeuble chauffé au fioul. Or notre auditrice a entendu dire que l’Etat prévoit d’interdire ce type de chauffage à compter de 2022. Peut-elle en profiter pour négocier le prix de l’appartement qu’elle convoite ?
En réponse, notre agent immobilier rappelle en préalable que la négociation dépendra avant tout du prix qui a été fixé par le vendeur. Le fait que le logement soit, ou non, chauffé au fioul n’est pour l’heure pas un critère déterminant. Pour rappel, à partir du 1er juillet 2022 il sera en effet interdit d’installer de nouvelles chaudières au fioul dans les logements. Toutefois, si vous êtes déjà équipé d’un chauffage au fioul, vous pourrez toujours l’utiliser et le faire réparer : seule une panne, exigeant un remplacement par exemple, contraindra les propriétaires à changer de mode de chauffage.
[ad_2]
Il est fort intéressant de savoir que malgré l’interdiction prochaine du chauffage au fioul, ce ne soit pour l’heure pas un critère déterminant selon l’agente immobilière. Or, suite à cette interdiction, ne pourrait-on fixer dans le contrat une nouvelle installation des sanitaires, obligation en échange de laquelle demander une baisse de prix ? Je demande en tant qu’amateur curieux, excusez-moi.