Quand les Etats prévoient de vous spolier au point de mettre un terme à la démocratie

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Le défaut de paiement et l’usage de la planche à billet sont des technologies de spoliation des prêteurs assez répugnantes, mais au moins y sommes-nous habitués. C’est beaucoup moins le cas des solutions que nous allons aborder aujourd’hui, lesquelles auraient sans aucun doute un effet beaucoup plus traumatisant sur la population.

L’une d’entre elle nous ferait même définitivement sortir la démocratie au profit d’un régime disons plus… musclé.

Le corralito ou la voie des forceurs

Pour reprendre la formulation d’Henri Regnault, il s’agit de « la technologie régalienne qui consiste à invoquer la continuité de l’Etat et de l’ordre public pour forcer au roulement de la dette. »

L’idée au cœur de cette stratégie, c’est de suspendre la liquidité de certains de vos placements en vous empêchant de les vendre, le temps qu’ils perdent suffisamment de leur valeur au goût de l’Etat.

C’est bien sûr au blocage des rachats sur les fonds euros rendu possible par la loi Sapin 2 qu’il faut ici penser. Ce scénario est très probable, l’Etat disposant déjà de tout l’arsenal législatif nécessaire.

Que voulez-vous, comme l’a un jour déclaré Natacha Valla (désormais Directeur général adjoint de la politique monétaire à la BCE) : « Si la dette qui est en face des contrats d’assurance-vie perd 50% de sa valeur, il faudra bien que quelqu’un prenne la perte… il faudra que ça s’ajuste d’une façon ou d’une autre »… Pas mieux.

Pour l’anecdote, le corralito, c’est le nom familier donné « aux mesures économiques prises en Argentine le 1er décembre 2001, lors de la crise économique, par le ministre de l’économie Domingo Cavallo dans le but de mettre fin à une course à la liquidité et à la fuite des capitaux. Prévu à l’origine pour une durée de 90 jours, il fut maintenu par Eduardo Duhalde, investi président en janvier 2002, jusqu’au 1er décembre 2002. Le mot espagnol corralito est le diminutif de corral, qui sert à restreindre le mouvement des animaux et est utilisé en Argentine pour se référer à l’enclos pliant réservé aux jeux du bébé », comme l’explique Wikipédia.

Avec le corralio, vous voilà définitivement parqué par un Etat qui considère que nous ne valez pas mieux qu’un bambin sans défense ou que du bétail – comme vous préférez.

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