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Depuis 1945 et jusqu’aux années 80, l’entreprise française connut des heures de gloire, une grande prospérité, financée par les emprunts internationaux et des progrès techniques importants dans le nucléaire principalement qui fit de la France un pays indépendant et sûr.
Puis les années de doute et d’erreur vinrent avec l’abandon du surgénérateur, les mécomptes d’Areva et la lenteur de réalisation des EPR.
Et voilà maintenant que l’UE veut découper l’entreprise en trois morceau, bleu, vert et azur, et introduire des modes de gestion à l’anglo-saxonne, y compris pour l’eau dont le rôle est décisif dans l’activité des centrales. Jean-François Auzolle, ingénieur de l’école Centrale Paris, nous fait avec passion, la fresque historique et technologique d’un fleuron français victime du mondialisme.
L’histoire de l’EDF se divise en trois parties :
1. Le temps de la croissance et du succès (1945 – 1980)
2. Les années du doute et les erreurs stratégiques (1980 – 2000)
3. A partir du début du XXI° siècle, EDF est à la fois entrée dans les déficits et les incertitudes, au surplus menacée, au motif de ces difficultés, d’être découpée par l’UE avec la complicité de la classe politique française.
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