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C’est un article du Figaro qui parle à son tour de ce phénomène de plus en plus prégnant où l’on vend la ville pour la campagne.
Ici, il n’est pas question d’aller élever des chèvres sur le plateau du Larzac, mais de l’attractivité des villes moyennes qui séduisent par leur qualité de vie et leur prix immobiliers attractifs. « Mais leur bassin d’emploi n’est pas toujours dynamique ».
Et ça tombe bien, car l’emploi évolue et va considérablement évoluer dans les prochains mois et les prochaines années.
A court terme, c’est une crise économique avec un effondrement du nombre de postes de salariés.
Puis, ce sera l’envolée du paiement à la tâche à travers de nouvelles formes de collaboration et demain nous serons « tous » (c’est une façon de parler) autoentrepreneurs ou indépendants.
Pourquoi ?
Parce qu’avec 10 millions de chômeurs, il sera plus facile de trouver des clients qu’un seul patron et un CDI.
Le télétravail et la nécessité de gérer la précarité financière liée à la rareté de l’emploi pousseront beaucoup de Français à quitter les très grandes villes très chères pour les villes petites ou moyennes à proximité des très grands bassins d’emplois.
Je vous invite à lire cet article du Figaro pour alimenter votre réflexion.
Gagner jusqu’à 2 500 euros nets à Paris n’est pas une bonne affaire en pouvoir d’achat et reste à vivre.
Quand je dis vendre la ville pour acheter la campagne, il faut comprendre vendre la ville très chère… après chacun sa définition de « sa » campagne ! Une petite ville, une moyenne ou carrément les champs !
Charles SANNAT
Source Le Figaro Immobilier ici
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