Vous vous sentez mal ? C’est normal. Vous vivez en Absurdistan !

Beaucoup de gens, ces derniers temps, se sentent de plus en plus mal et l’on voit d’ailleurs, partout, l’agressivité considérablement augmenter.

Il faut dire que les contraintes imposées aux gens, dans des conditions le plus souvent très contradictoires, deviennent de plus en plus insupportables.

La raison ?

Une gestion calamiteuse de l’épidémie et une gouvernance désastreuse de la part de nos dirigeants.

On peut évidemment se trouver désemparé face à une situation nouvelle, mais il est des principes de direction et de gestion, des principes d’encadrement, qui en tous temps, et même surtout par gros temps restent valables.

Justice, simplicité et cohérence des décisions.

Voilà un programme simple et totalement oublié.

Les mesures cohérentes avec un objectif clair sont toujours acceptables et donc acceptées.

Le flou, le mensonge, les carabistouilles et les ajustements à la petite semaine sans oublier les décisions prises pour de mauvaises raisons viennent toujours à bout de la patience remarquable d’un peuple.

Si l’on ferme les restaurants, on ferme tous les points où l’on mange sans maque. C’est cohérent.

Quand on ferme les remontées mécaniques, on ferme les stations dans le sens où on indemnise toutes les pertes d’exploitations, ou alors on ouvre ! En Suisse, il semblerait que les stations de ski restent ouvertes !

On laisse des milliers de gens s’entasser dans des boutiques, mais on interdit les lieux de culte.

On oblige les gens à s’autoriser eux-mêmes pour sortir de manière urgente acheter des choses non-indispensables dans des magasins qui ne sont plus de première nécessité mais rouverts…

On nage donc en plein délire collectif et en pleine folie, une folie qui évidemment monte au cerveau des plus fragiles.

Suicide, déprime, malaise, ou violence, tout est fait, dans les faits, pour rendre les gens complètement fous !

Alors évidemment, résistez, prenez soin de vous et des autres, et protégez-vous ainsi que vos proches de ces folies collectives, de ces incohérences, de ces injonctions contradictoires qui sont psychologiquement si destructrices.

La premier outil de survie c’est la connaissance et la compréhension de ce qu’il se passe.

Vous êtes, nous sommes confrontés à une insécurité psychologique majeure et c’est très déstabilisant.

C’est tout cela que j’essaie de décrypter et d’expliquer dans ce nouveau JT de l’éco du grenier.

Bon visionnage, bons partages !

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