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Pouvez-vous négocier le prix de votre futur logement ? SeLoger fait le point région par région.
Sur une grande partie du territoire, le marché immobilier s’est tendu avec les conséquences que l’on sait : une demande qui reste forte mais des biens à vendre qui se raréfient et des marges de négociation qui brillent par leur ténuité… Il reste toutefois possible de négocier. Région par région, voici de combien vous pouvez espérer négocier le prix de vente d’un bien immobilier.
Des négociations moins fréquentes (et moins musclées !) qu’avant
Alors qu’il y a encore de ça quelques années, les acquéreurs négociaient quasi systématiquement les prix affichés, quels qu’ils soient, aujourd’hui, seuls les logements surestimés et dont le prix de vente affiché apparaît comme étant totalement déconnecté de la réalité du marché immobilier local ou encore qui présentent des défauts, font l’objet de négociations.
La raison ? Sur un marché de l’immobilier hyper-tendu – car pénurique – comme l’est devenu le marché hexagonal, ce sont les vendeurs qui ont la main et que, confrontés à une offre anémique, les porteurs d’un projet d’achat immobilier n’ont bien souvent pas d’autre choix que de renoncer à négocier. Sur un marché où l’on peut dénombrer jusqu’à dix (et parfois davantage !) acheteurs sérieux en attente pour un même bien, il n’y a rien d’étonnant à ce que les acquéreurs ne négocient plus, de peur de voir le logement qu’ils souhaitent acquérir, leur passer sous le nez !
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